Voiciun exemple d’un travail Ă  effectuer sur un morceau : 1. Commencez par jouer les toniques avec le mĂ©tronome (lentement, 40-50 bpm), vous aurez ainsi la structure du morceau et les basses en tĂȘte. Ces toniques vont aussi servir de point de dĂ©part pour repĂ©rer vos arpĂšges.

Le pianiste de jazz amĂ©ricain est paralysĂ© de la main gauche. Je ne sais pas de quoi sera fait mon avenir », dit-il. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Responsable des "Livres du Soir" PubliĂ© le 22/10/2020 Ă  1600 Temps de lecture 4 min Keith Jarrett, c’est une des icĂŽnes du jazz. Comme John Coltrane, Thelonious Monk ou Miles Davis. Il nous a captivĂ©s, fascinĂ©s, envoĂ»tĂ©s par ses prestations avec les nombreux musiciens avec lesquels il a jouĂ© Miles Ă©videmment, Charles Lloyd, Jack DeJohnette, Gary Peacock, Paul Motian, Charlie Haden, Jan Garbarek, Dewey Redman, Gary Burton, Freddie Hubbard, Art Blakey. Et ensorcelĂ©s et Ă©blouis par ses concerts en solo, les fameux Köln Concert, Vienna Concert, Paris Concert, Tokyo 96, Rio, Creation, Fenice, Munich, jusqu’à ce Budapest Concert dont l’album sort le 30 octobre. Ecoutez-les bien. Et souvent. Car c’est sans doute ce qu’il restera de Keith Jarrett pour le futur il ne pourra plus jouer en concert, sa main gauche est paralysĂ©e. Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Avec cette offre, profitez de L’accĂšs illimitĂ© Ă  tous les articles, dossiers et reportages de la rĂ©daction Le journal en version numĂ©rique Un confort de lecture avec publicitĂ© limitĂ©e

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1. Psychanalyse, musique et jazzLe psychanalyste serait-il devant l’inconscient comme le musicien devant la musique ? Aux prises avec une rĂ©alitĂ© immense, qui le dĂ©passe, et qui requiert de lui l’invention d’un n’y a pas de musique psychanalytique, mais certaines musiques semblent entretenir des liens sinon avec l’inconscient – affirmer cela revient Ă  Ă©noncer une banalitĂ© infĂ©conde- du moins avec les processus psychiques que Freud a thĂ©orisĂ© conservation d’une mĂ©moire du sexuel, formation de compromis aidant au retour de refoulĂ©. Il en est ainsi de ce que nous nommons blues, gospel et jazz, soit le socle de la musique afro-amĂ©ricaine, qui servit aussi de lien social, de miroir et d’exutoire au peuple noir des Etats-Unis d’AmĂ©rique. 2. Jazz et filiationLa musique dite jazz » est Ă  la fois en constante Ă©volution, du moins jusqu’à ces vingt derniĂšres annĂ©es, c’est une houle en une reptation dansante et spiralĂ©e qui va exhumer et absorber ses premiĂšres traces avec l’autoritĂ© du rythme. IrrĂ©sistible appel au corps . C’est cela l’Ɠuvre jazz, qu’on ne peut rĂ©duire au relevĂ© des partitions, des arrangements et des chorus improvisĂ©s une alliance entre forme et son, un risque oĂč se rĂ©verbĂšre une lumiĂšre enivrĂ©e de son propre surgissement. Une contemporanĂ©itĂ© en avance sur toute formule . Une mĂ©moire qui oĂč, dans certaines Ă©vidences des hĂ©ritages et des formules, et, en dĂ©pit de telles Ă©vidences, la mĂ©moire se fait activation des formes, anamorphose des souvenirs, ignifugation des traces, torsion. Don de l’intemporel Ă  l’histoire, de l’histoire Ă  la mĂ©moire, de la mĂ©moire au corps, du corps Ă  la sidĂ©rante condition de paria et de spoliĂ© radical qui fut celle de l’esclave. Le jazz est acte et il est Ɠuvre. Chant de filiation jamais figĂ© en des commĂ©morations mortifĂšres, la pulsion jazz, reconnaĂźt ses dettes lĂ  oĂč elle impose la reprise, la relance, l’invention, la transmission, enfin. Le son de chaque musicien –sa maniĂšre de chanter ou de retenir chaque note, sa façon mate et obstinĂ©e d’avancer le souffle ou le doigtĂ©, ou au contraire son impatience de feu – est une composante essentielle de l’oeuvre jouĂ©e et enregistrĂ©e et cela est court vrai du chant des aĂ©des du fleuve aux plus actuelles sonoritĂ©s et inflexions rythmiques de ses hĂ©ros ; de Skip James Ă  Steve Coleman, par est un alliage propre Ă  ce que nous dĂ©signons comme musique de jazz, il est bien le rĂ©sultat d’une contamination surdĂ©terminante entre les ferments africains importance de l’interprĂšte et de son accentuation, de son attaque des notes et europĂ©ens importance de l’harmonique et de la composition. LĂ  on se perd en hypothĂšses. En effet des alliages entre l’Afrique et l’Occident, des forçages et des dĂ©tours, des crĂ©ations de contrebande il s’en fit ailleurs, ailleurs d’autres creusets donnĂšrent naissance Ă  des arts authentiquement afro-amĂ©ricains, ou afro- caraibĂ©ens, afro-latino-mĂ©ricains, mais de notes bleues aux Etats-Unis Jazz avĂšnement et Ă©vĂšnementLe jazz a non seulement une histoire, mais il est, de plus une catĂ©gorie et un Ă©vĂ©nement qui a effet, et peut-ĂȘtre fonction, d’historiser l’histoire sous les habits du mythe et les prĂ©textes du divertissement. Rien d’une lecture linĂ©aire ne convient Ă  la situer, et sur son incessant travail de reprise du passĂ©, son Ă©nergie de mĂ©moire active, son incessant surgissement, la moindre thĂšse du progrĂšs dans l’art » se casse irrĂ©mĂ©diablement les dents. Un des voyageurs des plus vĂ©hĂ©ments et des plus dĂ©chirants du free-jazz », Albert Ayler qui bouleversa lors de son exil Ă  Copenhagen, un des grands de l’orchestre de Basie, le gĂ©nĂ©reux Don Byas, lui-mĂȘme se revendiquait, et Ă  trĂšs juste titre, d’une filiation directe avec les premiers improvisateurs du jazz. Ce tĂ©lescopage Ă©clairant et bruissant de gĂ©nĂ©rositĂ©s et de risques emphatiques entre la musique des hĂ©ros du free et celle des patriarches prĂ©classiques, correspondance que n’importe quelle oreille ne peut que ressentir confusĂ©ment, semble toujours l’une des plus justes occasions de comprĂ©hension et de ressenti de mouvements spiralĂ©s dans les formes du jazz. Cette musique, en effet, est Ă  la fois en constante Ă©volution, du moins jusqu’à ces vingt derniĂšres annĂ©es, et toujours absorbant les premiĂšres traces, ingĂ©rant l’ancien, le vĂ©nĂ©rant, l’improvisant et le réécrivant, non seulement pour y commĂ©morer une scĂ©nographie premiĂšre mais comme un passĂ© rĂ©miniscent, actif et fondateur, un ferment. Le jazz est une musique de jaillissement d’un prĂ©sent impĂ©rial. Cela n’a rien Ă  voir avec une vaine et puĂ©rile entreprise de redite ou de rĂ©pĂ©tition. Ces enfants actuels de King Oliver sont bien davantage free-jazzmen que tous les sympathiques français ou australiens qui voulurent copier, note aprĂšs note, comme le vain et habile Claude Luter les vĂ©nĂ©rables enregistrements Okeh ou Gennet qui – au dire des meilleurs spĂ©cialistes de jazz, critiques et musiciens – marquent les dĂ©but en 1923 du jazz orchestral enregistrĂ©. C’est cela l’Ɠuvre jazz, qu’on ne peut rĂ©duire au relevĂ© des partitions, des arrangements et des chorus improvisĂ©s une alliance entre forme et son, un respir et un supens. Un risque oĂč se rĂ©verbĂšre une lumiĂšre enivrĂ©e de son propre surgissement. Le son de chaque musicien – sa flamme, sa maniĂšre de chanter ou de retenir chaque note, sa façon mate et obstinĂ©e d’avancer le souffle ou le doigtĂ©, ou au contraire son impatience de feu – est une composante essentielle de l’Ɠuvre jouĂ©e et enregistrĂ©e. Aucun musicien ne saurait ĂȘtre exemplaire Ă  force d’anonymat. Il se fait une alchimie fĂ©conde et un art de la rencontre dans chacun des disques qui ont fait l’histoire du jazz orchestral. Et certains musiciens ne se penseraient pas sans la compagnie de quelques autres ou de l’orchestre qui fut, pour un temps plus ou moins long, sa maison et son Ă©crin. Billie Holiday a rencontrĂ© en Lester Young son alter ego. Hormis quelques faces enregistrĂ©es avec Django Reinhardt, Rex Stewart et mĂȘme Barney Bigard ne furent rien ou si peu sans l’orchestre de Duke Ellington. Dizzy ouvrit Ă  Parker le monde des musiques afro-cubaines
Aussi le simple projet qu’on pourrait transformer un disque enregistrĂ© en partition actualisĂ©e capable d’ĂȘtre jouĂ©e par des instrumentistes meilleurs techniciens, enregistrĂ©e dans de meilleurs conditions techniques, etc., est-il un total contre-sens. Effectivement, il faut Ă  la critique, sous peine de niaiseries sentimentales et de fadaises amphigouriques, se pencher sur les transcriptions des choses enregistrĂ©es. Qui sont bien Ă©videmment dignes d’études et peuvent Ă  leur tour servir de formules harmoniques et rythmiques Ă  bien des Ɠuvres de jazz ou d’autres musique, dont celle qu’on nomme par facilitĂ© que de verser dans la cĂ©lĂ©bration de l’improvisation contre l’écrit ou contre le projet musical, nous faudrait-il concevoir pleinement que certains des plus beaux moments enregistrĂ©s du jazz furent comme voulus et prĂ©parĂ©s par des prodiges d’écriture orchestrale qui leur servaient Ă  la fois d’abri et de rĂ©vĂ©lateur. Et se prononce et s’édifier l’art dĂ©licat de l’arrangement, en Ă  peine quelques annĂ©es qui vont des conventions collectives de l’improvisation nouvelle-orlĂ©anaise quelques melliflues plages de Kid Ory en 1922 et les quelques trente cires du CrĂ©ole Jazz Band d’Oliver en 1923 avec Armstrong comme second cornettiste jusqu’au dĂ©but des premiĂšres grandes phalanges de jazz le mĂȘme King Oliver avec ses Syncopators de 1926 Ă  1928, les dĂ©buts du Duke Ellington Orchestra, en 1926, les orchestres de Charlie Johnson de 1927 Ă  1929 et des frĂšres Llyod et CĂ©cil Scott, en 1927, et, surtout, l’orchestre pionnier de Fletcher Henderson qui dĂšs 1924 propose des arrangements inventifs et clairs qui servirent la grĂące d’Howard Scott et le gĂ©nie naissant de Louis Armstrong.Ici, j’ai le vif sentiment pourtant d’ĂȘtre Ă  cĂŽtĂ© et de me trouver dans la gĂȘne la plus extrĂȘme Ă  faire saisir au lecteur ce qui est actif au cƓur de la musique jazz », musique qu’il est toujours rĂ©ducteur et nĂ©gateur de rĂ©duire Ă  une simple tension esthĂ©tique. Est-il besoin de redire ici que la musique du peuple noir des Etats-Unis cĂ©lĂšbre tout d’abord des histoires de corps et de mĂ©moire, de malheurs et de rĂ©sistances des corps, des histoires de morts et de sexualitĂ©s, des puissances de la mort et du sexuel, autant de flĂšches du rĂ©el qui sont ordinairement refoulĂ©es et qui objectent, salutairement, Ă  toute conception mortifiante et surannĂ©e de la crĂ©ation en tant stratĂ©gie de refus du sexuel et du corps Un enregistrement phareMarquons ici une premiĂšre halte. Nous sommes en 1950. Ecoutons comment, en sa maturitĂ©, Louis Armstrong, entourĂ© de ses amis Barney Bigard, Jack teagarden et Cozy Cole, Ă©voque un enterrement Ă  la Nouvelle-Orleans, le plus foisonnant et fĂ©brile des berceaux de cette musique. Aventuriers de toute condition et de tout Ă©tage, esclaves noirs que la fin de la guerre de SĂ©cession laissent Ă©tourdis devant une libertĂ© encore brumeuse, marins. Il s’y fait de la musique partout des Ă©glises aux bordels, des cimetiĂšres aux bals, des docks Ă  l’OpĂ©ra. De la magie aussi. PenchĂ©e sur des cƓurs de tortues flottant dans l’eau herbĂ©e d’une bassine, la tante du futur pianiste Jelly Roll Morton, lit l’avenir aux voisins sur fond de piano mĂ©canique. L’oncle de Sidney Bechet est convoquĂ© pour hypnotiser au son d’un saxophone les infortunĂ©s patients du regrettable dentiste local. Dans cette citĂ©, lors des enterrements, les musiciens briquent leurs cuivres et accordent leurs vents, tendent au mieux les peaux de leurs tambours. Leurs Ă©pouses de carriĂšre ou d’occasion Ă©poussettent leurs habits de parade, c’est que, dĂšs qu’il faut mettre en terre un membre important de ces innombrables sociĂ©tĂ©s, congrĂ©gations, associations ou clubs plus ou moins occultes qui poussent comme champignons en Louisiane, chacun d’eux sait qu’il lui faut ĂȘtre de la partie. Les funĂ©railles dĂ©butent. La trompette sculpte un thĂšme recueilli, qui voue Ă  l’envol l’ñme du dĂ©funt comparĂ©e Ă  un oiseau enfin libĂ©rĂ© de la cage du corps, assolant l’éther, le trombone bruisse de longs glapissements funĂšbres alors que la clarinette joue Ă  l’unisson ou une tierce au-dessus de la partie de trompette. On enterre le mort. Le sourcil de chacun se fronce, les larmes coulent. Le cercueil est avalĂ© par le sol. BĂ©nĂ©dictions. Accolades. ChargĂ© jusqu'alors du soin de ponctuer sur sa grosse-caisse le pas trĂšs lent et trĂšs pesant du cortĂšge funĂ©raire, le joueur de tambour tient fermement une sĂ©quence rythmique pleine d’allant et qui, entraĂźnante, rĂ©veille la trompette toute encore Ă©perdue de la mĂ©lancolie rĂȘveuse de l’air qu’elle a jouĂ© et rejouĂ© tout au long de la marche vers le cimetiĂšre. La sonoritĂ© claire du tambour, qui contraste avec la matitĂ© sourde du jeu de grosse caisse, Ă©voque la lĂ©gĂšretĂ© de l'Ăąme s'en allant au paradis. Les escortes musicales d'un convoi funĂ©raire comptent au moins deux batteurs. L'un, qui joue de la grosse claire, est placĂ© Ă  la gauche d’un autre tout occupĂ© Ă  faire chanter la caisse claire.. Ici, dans cet enregistrement, aprĂšs la sĂ©quence jouĂ©e par Cozy Cole, et soufflant presque aussi fort que l’Ange Gabriel du Jugement dernier, voilĂ  Louis Armstrong qui entame, rudement, rapidement presque un air de marche. Trombones vigoureux et clarinettes et saxophones piaillants et pĂ©tillants suivent le pas. Et tous rentrent Ă  la maison du dĂ©funt pour faire bombance et licence aussi, parfois. De tels rites sont des survivances africaines qui ont pris le sens de la durĂ©e dans la dissimulation au sein des Églises spirituelles », Spiritual Church, toutes originaires de la Nouvelle-OrlĂ©ans, et qui ont Ă©tĂ© largement Ă©tudiĂ©es par les chercheurs amĂ©ricains sur le plan sociologique et anthropologique Baer & Singer, 1992 ; Jacobs & Kaslow, 1991. Leur spiritualitĂ© est perfusĂ©e de ce magico-religieux africain inspirĂ© du hoodoo » version louisianaise du vaudou » sans pour autant que ces institutions veuillent le reconnaĂźtre et encore moins le revendiquer de maniĂšre protestataire. Cette synthĂšse originale d'africanitĂ© initiatique, de rites catholiques et de spiritualitĂ© baptiste et pentecĂŽtiste est vĂ©cue par les participants comme une totalitĂ© idĂ©ologique et pratique non-conflictuelle. Et certains observateurs ont pu noter que le balancement du corps lors du premier temps de la procession avant qu’il ne soit inhumĂ© donc Ă©tait en exacte similitude avec la gestualitĂ© de vieux cultes Fons » et EwĂ©s » encore pratiquĂ©es, mais de façon rĂ©siduelle au NigĂ©ria ou au BĂ©nin et mĂȘme au Togo, lĂ  oĂč le culte des morts reste un devoir collectif. Une prĂ©cision supplĂ©mentaire et qui plaide en faveur de la thĂšse qui voit dans le rythme jazz une synthĂšse rĂ©ussie de ce qui a pu survivre de divers traditions percussives africaines et compte-tenu du fait que les guerriers et les sorciers Ashanti ont Ă©tĂ© aussi des esclaves prisĂ©s par les louisianais esclavagiste indique qu’il n'est pas impossible que l'after beat du jazz soit issu des traditions musicales ashanties tandis que la ternarisation du swing semble, quant Ă  elle provenir de l'influence yoruba » et congo », du moins bantoue ». Le pianisits Emmanuel Massrotir me confaiit il y a peut qu’écoutant, avec recueillement et admiration, un disque de Louis Armstrong dans lequel "Baby" Dodds joue sa batterie entendait dans les 43 des mesures de ce solo sont un authentique phrasĂ© de tambour congo Un mot encore sur cette seconde partie du disque, celle oĂč la fanfare avec une joie sĂ©rieuse appelle tous les participants Ă  s’éloigner de la demeure du mort, sa tombe, pour venir s’attabler au banquet des vivants. Le thĂšme qui est une marche a pour nom Didn’t He Ramble », ce qu’on pourrait traduire approximativement comme n’a t-t-il pas voyagĂ© ici sur terre ». En voici les paroles Didn't he ramble.... he rambled / Rambled all around.... in and out of towDidn't he ramble....didn't he ramble / He rambled till the butcher cut him downHis feet was in the market place...his head was in the street / Lady pass him by, said...look at the market meatHe grabbed her pocket book...and said I wish you well / She pulled out a forty-five...said I'm head of personnel
.You know he rambled...till the butcher...cut him down / I said he rambled...lord...'till the butcher shot him down »Qu’est ici la mort, ce boucher » lĂ  aussi un personnage mythique de la Nouvelle-OrlĂ©ans qui tĂŽt ou tard va vous abattre ? Une rĂ©surgence sans doute de thĂšmes sacrificiels. Dans l’effluence maniaque du repas funĂ©raire, les musiciens sont lĂ  pour mettre une ambiance qui impose la danse, le mouvement, impose Ă  la monochromie de la mort, le bariolage des corps qui vivent, mangent, pleurent, rient et peuvent s’aimer malgrĂ© tout, en dĂ©pit du dĂ©part irrĂ©versible d’un ou d’une autre, parce qu’à La Nouvelle-OrlĂ©ans comme ailleurs on aime Ă  penser que le dĂ©funt nous a pardonnĂ© et que bonne Ăąme il se rĂ©jouit de voir celles et ceux qu’il a laissĂ©s derriĂšre lui sur cette bonne vieille planĂšte absorber la vie Ă  pleine dent avec, au centre du festin, le grand cƓur de la musique qui continue Ă  battre et qui dit que le temps ne s’est pas arrĂȘtĂ© net. Et l’on se souviendra encore que les chants funĂšbres ashantis et yoroubas sont dans leur grande majoritĂ© des mĂ©lopĂ©es scandĂ©es lors des grands rituels de circoncision. Il fait peu de doute que pour d’authentiques musiciens de la Louisiane, jouer et enregistrer ce thĂšme dĂ©passait la simple performance esthĂ©tique ou scĂ©nique ; il y vivait un peu encore d’un sacrĂ©. Et rien ne saurait nous interdire de penser que Jelly Roll Morton enregistrant ce thĂšme en 1938 et en 1939, Kid Ory, en 1945, et Louis Armstrong enfin en 1950, se souvenaient de la part active qu’ils prirent dans certains rituels comprendra alors que ce disque, est, au delĂ  de sa valeur musicale superlative, un document de premiĂšre main qui enseigne sur la vie spirituelle de la Nouvelle-OrlĂ©ans, sur la façon dont les filles et fils d’esclaves Ă©taient passeurs d’africanitĂ©, quand bien mĂȘme, consciemment ils disaient ne rien en savoir, ou si peu, quand bien mĂȘme, efninf, c’est dans le but d’élargir leur palette thĂ©matique que certains grands crĂ©ateurs y puisĂšrent, dont Duke Ellington, alors que la sophistication de la culture musicale noire de Harlem, proche d’un ragtime surĂ©laborĂ© n’incluait pas le blues comme centre de gravitĂ© de son corpus ce qui n’était nullement le cas de ce qui vivait encore de musique Ă  La Nouvelle OrlĂ©ans, oĂč s’y dĂ©ployait Ă  Chicago ou Ă  Kansas-City.5. Du jazz comme histoire de corps et de rĂ©sistanceLe jazz est d’abord une histoire, une histoire de corps qui vivent, rĂ©sistent, se saluent, se dĂ©fient devant leur qualitĂ© de vivant malgrĂ© tout » et se balladent entre dĂ©sappropriation et rage de vivre. Il renvoie Ă  l’art de la lutte, du combat, il appelle sa mythologie qu’il expose et contemple. Le fantaisiste Perry Bradford, enregistrant un des premiers sinon le premier disque de "protest-song dĂ©diĂ© Ă  la stature du boxeur Harry Wills, qui fut volĂ© de son incontestable victoire, rend du mĂȘme coup, hommage Ă  ce corps qui rĂ©siste et l’emporte÷   clandestinement [1]. C’est du corps que cette musique retrouve et recrĂ©e en brassant par cette dĂ©sinvolture que seule permet la nĂ©cessitĂ© collective, song, jazz et blues. Corps de l’esclave, corps du baptisĂ© que secoue la transe religieuse, corps que captent les anciennes magies, ces sortilĂšges qui se rendent maĂźtres des puissances et des jouissances de la mort, mais corps aussi du spectacle. Et pourquoi le jazz aurait-il honte du sexuel et de l’excĂšs d’improvisation et de style, lui qui est une musique de survivants, nĂ©e dans les bouges, les tripots ou les bordels Ă  la mode de la Nouvelle-OrlĂ©ans, de Kansas City ou de New York ? Il y a un rapport net entre le jazz et les puissances de l’Éros qui fit de cette art l’écran projectif le plus somptueux que l’Occident ait jamais pu s’offrir en matiĂšre d’ grande musique noire amĂ©ricaine est un acte de mĂ©moire et de rĂ©sistance. Une crĂ©ation assise sur les chants religieux par lesquels les esclaves s’identifiaient aux HĂ©breux captifs de Pharaon et libĂ©rĂ©s par MoĂŻse, sur les chants de travail oĂč survivent des traces des polyphonies africaines, nourrie du blues et de son effet de condensation et de contamination de gammes, du ragtime aussi, ce mouvement oĂč Noirs et Blancs syncopĂšrent des thĂšmes proches de la musique classique au reste l’un des plus grands crĂ©ateurs de ragtime, Scott Joplin, a composĂ© un opĂ©ra Treemonisha dont le livret raconte la lutte spirituelle d’une jeune Noire pour se dĂ©livrer des sortilĂšges de la magie destructrice !Le jazz a accompli un prodigieux un saut de cĂŽtĂ© par rapport au ragtime – mouvement qui s’est Ă©puisĂ© de lui-mĂȘme – en revenant aussi Ă  la nature vocale de cette musique noire, nature soulignĂ©e par l’emploi de sonoritĂ©s Ă©tranglĂ©es, craintes ou pleurantes que faisaient entendre les sourdines des cornets et des trompettes de King Oliver, Tommy Ladnier ou Bubber Miley. Quant Ă  la chanteuse de blues Clara Smith, elle Ă©tait prĂ©sentĂ©e dans une publicitĂ© phonographique de 1924 comme the Queen of the Moaners» la reine des gĂ©misseuses , ce qui fait brĂšche aussi dans la prĂ©sentation conventionnelle d’une musique sans grain, propre sur elle, lisse et bien aspect-lĂ  du jazz a souvent Ă©tĂ© mal reçu par les industriels du show bizness amĂ©ricain qui prĂ©fĂšrent promouvoir l’ersatz, la copie diluĂ©e dans le flon-flon ou le faux sĂ©rieux, Ă  l’original. Dans le mĂȘme temps, de nombreux fils des immigrations europĂ©ennes, riches de traditions musicales europĂ©ennes, se tournĂšrent sincĂšrement vers le jazz et furent, pour certains d’entre eux Eddie Lang, Don Murray, Bix Beiderbecke, Joe Venuti, Benny Goodman, Ziggy Elman, des passeurs» entre le jazz noir et d’autres traditions, europĂ©ennes savantes, italiennes populaires et musique Blue noteIl semble donc qu’une analyse purement mĂ©tapsychologique ou musicologique de la chose Ă©crite et/ou jouĂ©e interdit de penser l’acte jazz comme affirmation d’un peuple qui ne se laisse plus dĂ©possĂ©der de son corps, en son rapport au beau, au vivant et Ă  la mort. Un des faits majeurs qui rend compte de la persistance de l’esthĂ©tique africaine est l’existence, dĂšs les formes les plus primitives du blues, de la Blue note, c’est-Ă -dire l'Ă©lĂ©vation d'un demi ton du 3Ăšme degrĂ© de la gamme pentatonique mineure, qui est supposĂ©e rĂ©sulter de la superposition de deux modalitĂ©s de gamme, gamme diatonique occidentale classique et non diatonique africaine. Le blues est fondamentalement constituĂ© d’accords de septiĂšme. Cette modulation Ă©tait certes connue aussi des musiciens classiques, elle est frĂ©quente chez FrĂ©dĂ©ric Chopin. Ce qui advient de neuf en musique avec et autour de la note bleue est une instabilitĂ© chromatique constitutive des liens Ă©troits, bien que non essentiels, entre blues et jazz. En effet, le blues canonique comporte trois accords de base tonique septiĂšme, – sous-dominante septiĂšme-tonique septiĂšme, – septiĂšme de dominante-tonique septiĂšme. La septiĂšme de dominante appelle bien l’accord de tonique parfait mais c’est pour le rabaisser d’un ton, de sorte que cette tonique lĂ  ne se trouve plus au mitan de la construction, ni Ă  sa fin. Une succession de septiĂšmes produit toujours un chromatisme indispensable Ă  la couleur» jazz. Du moins d’avant le be- bop qui dĂ©trĂŽne la septiĂšme de d o m i n a n t Controverses sur l’improvisationLes premiers improvisateurs jouaient davantage de l’ornementation et de la paraphrase Oliver, CĂ©lestin, Rena, Baquet, Picou, Piron, Dodds, Noone, SimĂ©on. Le passage du musicien prenant un solo au soliste de jazz Ă  part entiĂšre fut dĂ©cisivement accompli par Louis Armstrong, puis par Bix Beiderbecke et Red Allen, tous trois trompettistes. C’est bien Louis Armstrong qui a ouvert la voie au jazz soliste dĂšs 1926, dans ses enregistrements du Hot five orchestre du studio et qui lui a donnĂ© avec West end Blues et Thight like this une direction et une ampleur sans prĂ©cĂ©dent, deux annĂ©es aprĂšs son groupe avait alors pour nom Hot Seven.Du moment oĂč nous parlons de jazz», les clichĂ©s s’accumulent. Et celui de l’improvisateur inspirĂ©, nĂ©cessairement inspirĂ©, marchant Ă  l’aveuglette dans une semi-transe, devient plus qu’un clichĂ© une essentialisation idĂ©ologique de la musique de jazz. L’accent mis sur l’improvisation fait miroiter une scĂšne primitive oĂč surgissement du son et surgissement du monde se jettent, d’un mĂȘme jet et d’un mĂȘme souffle, au-dessus du vide. Libre, vraiment l’improvisateur ? Le jazz n’est pas un art sans contraintes. Et la mystification de l’improvisation rĂ©duite Ă  une marque de fabrique et Ă  quelconque label d’ authenticitĂ© » sonne faux. Combien de rĂ©unions anthologiques de musiciens, poussĂ©s sur la scĂšne de trop de festivals par les Ă©curies discographiques dont ols sont les poulains ou les chevaux fourbus, se sont rĂ©vĂ©lĂ©es de vĂ©ritables dĂ©sastres, sans sĂšve, sans tendresse, sans lumiĂšre! Mais encore Clark Terry nous explique comment le rĂȘve des racines en jazz reste bien Ă©loignĂ© de toute pĂ©trification musĂ©ographique Chez Ellington, il y avait les individualitĂ©s les plus dissemblables, mais il savait les utiliser en groupe aussi bien qu’en soliste. Il avait le talent de faire jouer les gens comme il le souhaitait, par exemple pour A drum is a woman [2]. Il me dit “eh sweetie [3], je voudrais que tu fasses le portrait de Buddy Bolden [4]. Tu es Buddy Bolden. Ce gars aimait les belles femmes, les beaux vĂȘtements. Il avait une sonoritĂ© tellement puissante que lorsqu’il s’accordait on pouvait l’entendre depuis l’autre rive du fleuve. Il savait jouer de belles inflexions, travailler la note, il aimait les altĂ©rations”. Alors j’ai jouĂ© Buddy Bolden et le Duke m’a dit “C’est tout Ă  fait ça !” » Jazz Hot, n° 335, p. 17.La naissance puis l’épopĂ©e du jazz c’est aussi et encore celle de la collectivitĂ© qui assume et marque les formes, les valeurs et les rythmes. En ce sens le jazz cĂ©lĂšbre une survivance et un surgissement, celui d’une conscience qui surmonte ce qui avait effet de l’anĂ©antir, de la retirer sans rĂ©mission de la scĂšne de l’histoire. Il cĂ©lĂšbre par les ruses de l’improvisation un Ă©cart, un autre chant, un clair obscur. De sorte qu’il n’est pas de jazz sans rapport Ă  la remise en jeu d’un originaire, d’un noyau originaire qui serait parlĂ© par le l’improvisation, ce maĂźtre mot qui fige les dĂ©bats, qu’en dire encore ? Qu’on m’autorise un parallĂšle avec ce que le surrĂ©alisme a su capter de la psychanalyse. Le jazz, parce qu’il y a improvisation, trouvailles et dĂ©placements de traces, renvoie Ă  une traversĂ©e de l’épaisseur des mĂ©moires et des rĂȘves. Un rĂ©el mĂ©morial y insiste dans la cĂ©lĂ©bration immĂ©moriale du surgissement du cri, de la fĂȘlure, du rythme et du son. L'improvisation – qui est essentielle au jazz – a peu Ă  peu Ă©voluĂ© d'un jeu basĂ© sur les harmonies d'un thĂšme Ă  l'intĂ©rieur d'un cadre rigoureux vers une libertĂ© absolue qui peut l'identifier Ă  une forme d’écriture automatique avec Ă©videmment les risques de panne, de bavardage, de ressassement que contient ce genre d’exercice. Les premiers improvisateurs jouaient davantage de l’ornementation et de la paraphrase Oliver, CĂ©lestin, Rena, Dodds, Noone, SimĂ©on. Le passage du musicien prenant un solo au soliste de jazz Ă  part entiĂšre fut dĂ©cisivement accompli par Louis Armstrong, puis par Bix Beiderbecke et Red Allen, tous trois trompettistes. C’est bien Louis Armstrong qui a ouvert la voie au jazz soliste dĂšs 1926, dans ses enregistrements du Hot five orchestre du studio et qui lui a donnĂ© avec West end Blues et Thight like this une direction et une ampleur sans prĂ©cĂ©dent, deux annĂ©es LibertĂ© libertaire sans du passĂ© faire table raseLĂ  encore les termes nous piĂšgent. Il n’est pas jusqu’à la libertĂ© du free jazz qui n’aille sans un souci affirmĂ© et le plus souvent abouti de thĂ©ories et de recherches La culture musicale de CĂ©cil Taylor, la rigueur thĂ©orique et la fertilitĂ© des expĂ©rimentations du saxophoniste Anthony Braxton ne sont plus Ă  souligner. Le lĂącher-prise du free-jazz casse des codes esthĂ©tiques contraignants, il n’invite pas au n’importe quoi. L’initiateur de ce courant fort important au plan de la dĂ©claration esthĂ©tique et politique des communautĂ©s afro-amĂ©ricaines, Ornette Coleman, a Ă©crit une symphonie Skies of America pour grand orchestre avec sa thĂ©orie qu’il baptisa harmolodique et qui vise Ă  Ă©tendreau plus les polyrythmies et les polytonalitĂ©s. Il est clair que l’improvisation sans culture n’a jamais donnĂ© de rĂ©sultats satisfaisants ni rien qui ait pu faire Ă©cole et transmission au sein du continent jazz. que seuls des amas de prĂ©jugĂ©s peuvent rĂ©duire Ă  des happenings primitifs et spontanĂ©s. Aussi pourrions nous repĂ©rer des Ă©pisodes de l’improvisation en jazz qui feraient intervenir plusieurs paramĂštres dont les plus dĂ©cisifs seraient a Le rapport aux thĂ©ories musicales et Ă  la culture musicale rythmique et harmonique de l’ Le lien entre l’improvisation et l’écriture encore une fois il faut insister sur le fait que les musiciens les plus inventifs peuvent ĂȘtre davantage inspirĂ©s en Ă©tant soutenus par une partition soignĂ©e, parfois taillĂ©e Ă  leur intention, comme c’est le cas pour Duke Ellington ou Gil Evans, qu’en dĂ©fiant pour la Ă©niĂšme fois les mĂȘmes collĂšgues sur des standards Ă©culĂ©s ou sur la gamme canonique du blues.c La valeur subjective de l’acte d’improviser, ce grand duel avec la partie la plus libre de soi-mĂȘme. Coltrane jouant My favorite thing, cette valse sympathique et Ă©culĂ©e, en fit l’un de ses espaces sonores les plus intimes auquel il fut des plus fidĂšles, allant du chantant des premiĂšres versions Ă  la vĂ©hĂ©mence explosĂ©e des ultimes saxophoniste J. L. Chautemps Ă©crit Je vois la musique comme une exploration de l'inconscient, une sorte de psychanalyse. Il faut couler toujours plus loin dans l'Ă©paisseur du rĂȘve ». Jazz Hot, n°187, p. 18. Aussi bien voit-on que les crĂ©ateurs de jazz ne font pas assumer Ă  cette musique la fonction de genre anti-genres » spĂ©cifique de l’idĂ©ologie postmoderne du mĂ©tissage gĂ©nĂ©ralisĂ©, de l’absence de hiĂ©rarchisation des valeurs esthĂ©tiques ou artistiques, elle n’illustre pas une sorte de logique de l’instant contre le poids de l’hĂ©ritage et de la tradition. Si leur combat a eu un sens c’est bien dans celui de rendre vivante une tradition en la faisant pĂ©riodiquement Ă©merger de dessous les travestissements commerciaux oĂč elle se relĂ©guait au prix de ne se grimer que De l’inactuelle urgence, actuellement nĂ©cessaire ou bref hommage aux passeurs »Aussi bien voit-on que les crĂ©ateurs de jazz ne font pas assumer Ă  cette musique la fonction triste d’un genre anti-genres» spĂ©cifique de l’idĂ©ologie postmoderne du mĂ©tissage gĂ©nĂ©ralisĂ©, de l’absence de hiĂ©rarchisation des valeurs esthĂ©tiques ou artistiques, l’improvisation en jazz n’illustre pas une sorte de logique de l’instant contre le trĂ©sor de l’hĂ©ritage et de la tradition. Si leur combat a eu un sens c’est bien dans celui de rendre vivante une tradition en la faisant pĂ©riodiquement Ă©merger de dessous les travestissements commerciaux oĂč elle se relĂ©guait au prix de ne se grimer que les passeurs, s’ils ne sont pas lĂ©gion, traversent pour certains toute l’histoire du jazz qu’ils portent sur leur dos et Ă©voquent dans leur souffle. Tel un Atlas noir, Coleman Hawkins porte la planĂšte jazz de Fletcher Hendersons Ă  Sonny Rollins, en passant par Miles, Monk, Bud Powel ou Fats Navarro. Mais dĂ©jĂ  King Oliver ce n’est plus tout Ă  fait cette Nouvelle-OrlĂ©ans que l’on entend encore en 1927 chez Papa CĂ©lestin ou Louis Dumaine. En fondant le jazz enregistrĂ© il rend crĂ©pusculaires les fanfares louisianaises et s’envole pour un solo serrĂ©, vĂ©hĂ©ment, dans son Dippermouth Blues, solo qui ne trouve Ă  la mĂȘme Ă©poque d’équivalent que dans l’inquiĂ©tude lyrique d’un Tommy Ladnier sculptant ses phrases, lui aussi Ă  la trompette bouchĂ©e, dans un Play that thing de lĂ©gende. Le pianiste, compositeur et chef d’orchestre, Jelly Roll Morton rĂ©invente la Louisiane et fait danser en elle le poivre de l’Espagne et rougir le sucre de la culture crĂ©ole. Bix Beiderbecke, cet enfant de l’immigration allemande le jazz a toujours Ă©tĂ© accueillant aux exilĂ©s, pleure de joie, d’émotion et de ferveur devant Bessie Smith et Armstrong, et se passionne Ă©galement pour Debussy, Ravel et GrofĂ©. Il invente ce qui sera plus tard le jazz cool, celui du second Miles et de Chet Baker – et nous ne sommes pas encore en jazzman est un producteur d’innovations, d’oĂč la rĂ©alitĂ© de cette musique trop souvent rĂ©duite Ă  la mĂ©canique de son supposĂ© prĂ©-carrĂ© improvisation et ancrage sur le blues, mais de fait musique de musiciens pour musiciens toujours Ă  la tĂąche de repenser la tradition et d’inscrire cette crĂ©ation continuĂ©e dans un dialogue avec les autres bouleversements musicaux que connaissent les musiques de la aventure du jazz en dialogue date depuis prĂšs de quatre-vingt ans. La nouveautĂ© profonde du Sacre de Stravinsky et les quasi Ă©meutes qui suivirent la premiĂšre prĂ©sentation de cette Ɠuvre Ă  Paris, en 1913, aidĂšrent sans doute Ă  l’acceptation et Ă  la comprĂ©hension du jazz en France. Darius Milhaud, que son amie Yvonne Georg emmĂšne Ă  Harlem, y achĂšte lĂ  les disques de la premiĂšre compagnie phonographique d’importance destinĂ©e au public noir, les Black Swann on y trouvait les enregistrements du pĂšre des grands orchestres de jazz, Fletcher Henderson et ceux de la chanteuse Ethel Waters. On connaĂźt la pense que ce dont le jazz a le plus besoin est cette confrontation renouvelĂ©e avec les expĂ©rimentations musicales les plus actuelles. Il s’étiolerait Ă  se fondre dans une world music oĂč, rĂ©duit Ă  ses stĂ©rĂ©otypes, il se figerait dans une actualitĂ© de mode sans Ă©paisseur, sans mĂ©moire et sans bien pensant de cette dĂ©rive qui a toutes les faveurs d’un public amnĂ©sique ou inaverti permet au moins de poser une problĂ©matique essentielle. On supposera que chaque Ă©poque a pu donner naissance Ă  des expressions abouties, des synthĂšses admirables de ce qui Ă©tait antĂ©cĂ©dent ou Ă©pars dans la contemporanĂ©itĂ© oĂč elle se sont produites, ce pourrait ĂȘtre le cas » de Bach en classique ou de Fats Waller, ce pianiste de jazz qui a produit la synthĂšse la plus riche du blues, du ragtime, du stride »[5] et du swing., mais aussi Ă  des crĂ©ateurs qui, explorateurs de l’intermĂ©diaire et de l’encore indĂ©cis, sont des passeurs vers un autre monde esthĂ©tique. LĂ  me vient Ă  l’esprit l’Ɠuvre d’une Barbara Strozzi ou d’un Orlando Gibbons, et en jazz, la musique jungle de Duke Ellington, l’itinĂ©raire d’un Eric Dolphy ou d’un Ornette Coleman, et l’Ɠuvre entiĂšre de John Coltrane. Ce qui est mortel en musique est la rĂ©duction d’une crĂ©ation Ă  des recettes et des formules qui sont ressassĂ©es jusqu’à l’usure sans le moindre souci de dĂ©passement. Le jazz souffre beaucoup de sa rĂ©duction Ă  des procĂ©dĂ©s et Ă  des clichĂ©s. Combien de sous-Miles Davis ! combien de copiste besogneux sans souffles et sans Ă©lans ! Et lĂ  oui il y a une hiĂ©rarchie Ă  faire entre la crĂ©ation et la redite. Penser l’actualitĂ© du jazz c’est aussi ne rien vouloir distendre du lien exigeant et amoureux entre expĂ©rimentation et improvisation, entre ombre et lumiĂšre, entre Ă©criture et Ă©vĂ©nement. Certaines crĂ©ations sont-elles encore promises Ă  la longue durĂ©e ? Je compterai pour ma part encore beaucoup sur les effets en musique des thĂ©oriciens comme Ornette Coleman et Anthony Braxton, je l’ai assez dit. Il me semble aussi que la grande leçon du risque improvisĂ© en promesse dĂ©jĂ  chez King Oliver, portĂ©e Ă  son incandescence chez Ayler peut se continuer chez le saxophoniste David S. RepĂšresHenry Red » Allen 1908-1967Fils d’un fameux leader d’orchestre de parade de la Nouvelle-OrlĂ©ans, ce trompettiste, repĂ©rĂ© par King Oliver, s’affirme dĂšs la fin des annĂ©es 1920, comme un novateur de premier plan, jouant sur des sonoritĂ©s contrastĂ©e, des stridences aux murmures, et usant de rythmes asymĂ©triques. Il fut aussi un chanteur expressif. Patrol Wagon Blues, 1930, I cover the Waterfront, 1957, Tuxedo Junction – avec Kid Ory, 1959. A redĂ©couvrir d’ Satchmo » Armstrong 1901-1971La jeunesse agitĂ©e de ce trompettiste lui doit d’avoir Ă©tĂ© Ă©duquĂ© aux subtilitĂ©s des arts de parade par un instrumentiste Ă©mĂ©rite et professeur dans un Institut de rééducation de jeunes dĂ©linquants ; il a ensuite Ă©tĂ© formĂ© par King Oliver aux fondamentaux du Jazz Nouvelle-OrlĂ©ans. Louis Armstrong a fondĂ© la dimension de l’improvisation en jazz. Il apparaĂźt d’emblĂ©e comme extrĂȘmement en avance sur son temps dĂšs ses rares solos enregistrĂ©s au sein du CrĂ©ole Jazz Band de son maĂźtre Oliver Chimes, Riverside Blues, 1923. Il enrichit son langage rythmique et harmonique chez Fletcher Henderson, en 1924, comme le firent aussi Coleman Hwakins pour le saxophone et Jimmie,Harrison pour le trombone. Magnifique accompagnateur de chanteuses de blues Saint Louis Blues avec Bessie Smith, 1925, il prend le risque de mettre en places deux petits ensembles de studios les Hot Five, puis les Hot Seven, de 1925 Ă  1927 Cornet Chop Suey, 1926, West end Blues et Thight like this, 1928 dans les cadres desquels il s’invente comme soliste de jazz. Passera ensuite par de longs sĂ©jours dans des grands orchestres dont celui de Luis Russel avant de recomposer en 1947 un petit combo, ses All-Stars oĂč brillent des individualitĂ©s qu’on ne saurait cantonner dans le seul registre du jazz classique de la Nouvelle-OrlĂ©ans Earl Hines, Barney Bigard, Trummy Youg, ou Big Sid Cattlet, ce dernier est le parangon du batteur swing et au sein duquel il grave quelques concerts d’anthologie Boston, 1947. Il fut un des chanteurs les plus Ă©mouvants de toute l’histoire de la musique afro-amĂ©ricaine Back O’ Town Blues, 1946. Un des vrais fondateurs du Ayler 1936-1970Amplement nourri des traditions blues et rythm’and blues, ce saxophoniste mĂ©tĂ©orite, saluĂ© Ă  ses dĂ©buts par un des plus classiques instrumentistes qui soit Don Byas, est le souffle mĂȘme du jazz free. En son jeu coagulent et renaissent la musique des Ă©glises noires, des orchestres de parade, des premiĂšres improvisations Nouvelle-OrlĂ©ans. Poignant, crĂ©atif et sincĂšre, son art rĂ©capitule sans emphase encyclopĂ©dique toute l’histoire et la prĂ©histoire du jazz, emportant avec lui cet hĂ©ritage vivant dans des risques oĂč jamais la spiritualitĂ© et l’élan vital ne se trouvent mis en arriĂšre-plan. Sans doute un des musiciens le plus nĂ©cessaire pour entendre les musiques qui ont fait le jazz et pour pressntir ce que pourrait ĂȘtre un futur possible pour cette musique Tout chez lui est Ă  Ă©couter, on pourra commencer Ă  faire connaissance avec sa sonoritĂ© formidable en entendant Bells 1965. A en la personne du français Daunik Lazro un disciple de premier ordre, intransigeant et Bismark Bix » Beiderbecke 1903-1931Issu de l’immigration allemande et nĂ© dans une famille de musicien, ce pianiste prĂ©coce s’invente Ă  15 ans une technique de cornet Ă  piston peu orthodoxe. Vite saisi par le virus du jazz nouvelle-orlĂ©ans,, Ă  l’écoute des musiques jouĂ©es sur les bateaux Ă  aubes qui remontent le Mississippi, il fera ses classes musicales Ă  l’AcadĂ©mie militaire de Lake Forrest. DĂšs ses premiers enregistrements au cornet Ă  piston avec un groupe d’étudiants Les Wolverines, il fait valoir ses principales qualitĂ©s et caractĂ©ristiques jeu doux, vibrant, sensible Jazz me blues, Tiger rag, 1924. Auditeur passionnĂ© des grands jazzmen noirs du Chicago, il aurait participĂ© Ă  une improvisation collective de lĂ©gende avec Louis Armstrong. Son grand commensal et partenaire musical est le saxophoniste Frank Trumbaueur. A eux deux, dĂšs 1926, ils prĂ©figurent le jazz cool » Singin’ the blues, 1927 qui fut plus tard revendiquĂ© par Lester Young. Il a souvent enregistrĂ©, excellemment entourĂ© de musiciens blancs qui, tous, ont contribuĂ© Ă  d’essentielles Ă©volutions stylistiques et techniques de leurs instrument, Eddie Lang, pour la guitare, Joe Venuti pour le violon, Don Murray pour la clarinette, Bill Rank pour le trombone, Lennie Hayotn pour le piano et les arrangements, Jimmy Dorsey pour la clarinette Sorry, 1927, Bessie couldn’t help it, 1930. Sera engagĂ© dans l’orchestre de jazz symphonique que dirige Paul Whitheman, figure chaleureuse et humaniste d’un jazz ampoulĂ© et accommodĂ© dans toutes les sĂ©ductions syncrĂ©tiques et commerciales possibles, mais accouchant de rares rĂ©alisations belles et rigoureuse oĂč l’écriture de l’arrangeur Bill Challis brille dans d’opportunes miniatures pour trompette et grand orchestre qui permettent Ă  Bix de livrer le meilleur de lui-mĂȘme Lonely melody, 1928. PassionnĂ© des harmoniques qu’apportent les musiques europĂ©ennes de son temps Debussy, il a enregistrĂ©, pour le piano, un manifeste esthĂ©tique d’avant-garde In a Mist, 1927.Leon Albany Barney Bigard 1906-1980Clarinettiste. AprĂšs des dĂ©buts vaseux chez King Oliver se rĂ©vĂšle chez Duke Ellington dĂšs 1927. Grave en 1929 des trios de lĂ©gende avec le pianiste Jelly Roll Morton dont Turtlle Twist. FlexibilitĂ©, Ă©motion, jeu bluesy, swing
 , Bigard est sans doute avec Bechet et Dodds un des meilleurs clarinettistes de jazz dont tout le talent a Ă©tĂ© mis en valeur par de mini concertos arrangĂ©s par le gĂ©nie d’Ellington Clarinet Lament, 1936. Ce qu’il a enregistrĂ© aprĂšs avoir quittĂ© la phalange ellingtonienne est trĂšs inĂ©gal, mis Ă  part son premier passage rayonnant chez Louis Armstrong, de1947 Ă  1955 Do you Know what it means to miss New-Orleans, 1947.Anthony BraxtonCe compositeur et musicologue, jouant de tous les saxophones est nĂ© en 1945. Avec CĂ©cil Taylor il reprĂ©sente la pointe extrĂȘme et nĂ©cessaire du dialogue entre jazz et musique occidentale d’avant-garde, au point que devant une telle exigence les Ă©tiquettes chutent d’elles-mĂȘmes. Une haute idĂ©e de l’improvisation servie par une culture musicale colossale. Loin des modes et des esbroufes, son art est une exploration rigoureuse des combinatoires des espaces sonores, des interlocutions de timbres et d’harmoniques. Composition n° 147, 1898Ornette ColemanCe compositeur, saxophoniste et violoniste est nĂ© en 1930. Lyrique et animĂ©e d’une Ă©nergie irrĂ©sistible, son art gĂ©nĂ©reux faits de petits airs qui s’enchevĂȘtrent dans des tapisseries musicales audacieuses, rĂ©vĂšle une passion pour la libertĂ© impatiente qui fulgurait dĂ©jĂ  chez Charlie Parker. Amateur et promoteur de nombreuses rencontres musicales, avec des musiciens traditionnels, des stars du Rock, etc. il a en 1960 tentĂ© une expĂ©rience fort probante d’enregistrer deux quartets se rĂ©pondant entre eux, chacun formĂ© d’un saxo, d’une trompette,d’une basse et d’une batterie. C’est Free-Jazz, paru chez Atlantic. John Coltrane 1926-1976Ancien sideman de Johnny Hodges et Miles Davis, ce saxophiniste et chef d’orchestre s’impose comme le plus important musicien de l’aprĂšs-bop. Par de grandes improvisations tonales et modales il bouleverse le langage du jazz. Adepte d’une communication avec d’autres musiques dont, surtout la musique indienne, il est le musicien de la quĂȘte et de l’absolu. My favorite things, versions de 1960 et de 1967 – the Olatunji concert, Ascencsion, 1965, Expression, 1967Dewey Miles Davis 1926-1991Ce trompettiste qui dĂ©buta aux cĂŽtĂ©s de Charlie Parker Donna Lee, 1947 reste une star, son jeu, pourtant, est encore mal connu. Prestidigitateur pudique ou grandiloquent, maĂźtre des silences, des dĂ©rapages et des fulgurances, cet artiste a tentĂ© de nombreuses expĂ©riences musicales en Ă©chappant Ă  toute rĂ©duction taxonimique. Avec cela qu’il ressemble un peu Ă  ces trains de théùtre qui donnent l’illusion du mouvement du moment que bouge, derriĂšre eux, le dĂ©cor. Il lui arrivait d'utiliser les modes grecs pour composer.. Il prĂ©fĂ©rait, par exemple, aux gammes mineures mĂ©lodique et harmonique le mode Dorien Ă©laborĂ© Ă  partir du 2Ăšme degrĂ© de la gamme majeure. Sa sonoritĂ© feutrĂ©e et sĂ©duisante sera durcie par la rĂ©verbĂ©ration qu’apportent les Ă©lectrisations. VĂ©ritable crĂ©ateur du jazz-rock et seul, avec le batteur Tony Williams, a donnĂ© quelque Ă©lan Ă  ce courant vite Ă©puisĂ©, Miles a passĂ© son temps Ă  se chercher et Ă  nous sĂ©duire
 sans que son retour, dans les annĂ©es 1980, au-devant d’une scĂšne conquise d’avance n’ait apportĂ© quoi que ce soit de dĂ©cisif. Son parcours avec Gil Evans est de toute subtilitĂ© et de toute sĂ©duction, mais c’est dans les albums Britches Brew 1969 et Agharta 1975, qu’on le sent le plus concernĂ©, le plus indispensable et le plus libre. Johnny Dodds 1892-1940Clarinettiste. DĂ©bute ses classes en 1920 avec King Oliver. Est de toutes les formations majeures du jazz Nouvelle-OrlĂ©ans recomposĂ© et mĂ»ri Ă  Chicago King Oliver Creole Jazz Band, King Oliver Syncopators, Jelly Roll Morton Red Hot Peppers, Louis Armstorng Hot Five et Hot Seven. Son jeu se caractĂ©rise par un profond sens du blues, un lyrisme pudique et fier, une attaque dĂ©cisive dans les aigus et une sonoritĂ© profonde dans les graves. IndĂ©passable dans l’art du contrepoint lors des improvisations collectives. Ă  Ă©couter Perdido Street blues, 1926, Wild man Blues avec le trompettiste Charlie Shavers, 1938Edward Kennedy Duke » Ellington 1899-1974,Pianiste et chef d’orchestre, Compositeur. CrĂ©ateur de l’esthĂ©tique du grand orchestre de jazz, pianiste influencĂ© par l’école de Harlem des annĂ©es 1920 James P. Johnson, Fats Waller, Willie Smith the Lion » et Ă©voluant vers un style plus sobre et plus incisif, davantage audacieux harmoniquement. On se reportera aux morceaux citĂ©s, tĂ©moignages de sa premiĂšre pĂ©riode, dite jungle » caractĂ©risĂ©e par un alliage entre la raucitĂ© des cuivres que vocalise l’usage omniprĂ©sent de sourdines en caoutchouc et la douceur des saxophones. Une pĂ©riode plus tardive 1939-1941 est considĂ©rĂ©e comme l’apogĂ©e de l’art de Duke Ellington, pĂ©riode marquĂ©e par une plus grande flexibilitĂ© Ko-Ko, Jack the Bear, Bleu Serge. DĂšs le milieu des annĂ©es 1950, le Duke revient sur sa carriĂšre et met Ă  jour son rĂ©pertoire. Il a su appeler prĂšs de lui des figures d’avant-garde A. Shepp ou E. Jones ou enregistrer avec d’autres dont John Elmore Gil Evans 1912-1988Ce pianiste arrangeur et chef d’orchestre , autodidacte a Ă©mancipĂ© la traditionnelle et efficace organisation par sections de cuivres et d’anches du grand orchestre de jazz due Ă  Fletcher Henderson et Don Redman. Il a de plus inventĂ© des alliages sonores en mettant en valeur des instruments jusqu’à lui inusitĂ© en jazz cor hautbois, tuba. Ses toiles sonores, hautement intelligentes et sophistiquĂ©es, sont des Ă©crins quiaident les improvisateurs Ă  aller de plus en plus loin dans la prise de risque et le dialogue avec la masse orchestrale, tout autant. A longtemps prĂȘtĂ© main forte Ă  Miles Davis albums Miles ahead », 1957, Sketches of Spain », 1959. TrĂšs beau travail avec Steve Lacy Ă  la toute fin de sa vie Reincarnation of a love bird 1987Coleman Bean » Hawkins 1904-1969Saxophoniste. Muni d’un trĂšs bon bagage musical, fait partie de l’orchestre de son collĂšge. Membre rĂ©gulier de l’orchestre de Fletcher Henderson de 1922 Ă  1934. Divers sĂ©jours en Europe oĂč il rencontre Django Reinhardt et enregistre avec lui Honeysuckle Rose, 1937. De retour aux USA bouleverse tous les jazzman par son interprĂ©tation de Body and Soul 1939 oĂč sa sonoritĂ© achĂšve de devenir pulpeuse au service d’un lyrisme impĂ©rieux. Il saura entendre la rĂ©volution bop et l’accompagner, en enregistrant, par exemple, un duo avec Sony Rollins, en 1963 dont Just Friends et SummertimeFletcher Henderson 1897-1952Le pĂšre incontestĂ© de tous les grands orchestre de jazz. Ce pianiste discret, subtil accompagnateur des grandes chanteuses de jazz et de blues de son Ă©poque E. Waters, C. Smith, B. Smith, a formĂ© son premier grand orchestre au dĂ©but des annĂ©es 24. La plupart des grands solistes des annĂ©es 20 et 30 frĂ©quentĂšrent ses phalanges Louis Armstrong aprĂšs avoir quittĂ© King Oliver, Rex Stewart, Red Allen Roy Eldridge, Tommy Ladnier, Joe Smith, mais aussi et encore Benny Carter, Don Redman et Coleman Hawkins, jusqu’au bopper Art Blakey. Sa phalange Ă©tait un lieu d’expĂ©rimentation au sein de laquelle les instrumentistes, stimulĂ©s par le fait de jouer en sections importantes, eurent Ă  cƓur de faire Ă©voluer leur technique instrumentale et le rĂŽle mĂȘme de leur instrument, que ce soit les saxophonistes Coleman Hawkins et Benny Carter, le tromboniste Jimmie Harrison, les trompettistes Louis Armstrong et Rex Stewart ou le batteur Kaiser Marshall. A cĂŽtĂ© de Duke Ellington, et un peu avant lui, Henderson a inventĂ©, avec ses sidemen Don Redman et Benny Carter les arguments classiques de l’arrangement jazz jeu en section, prĂ©paration des solos par un tissus orchestral ad hoc. Copenhagen en 1924 montre comment le langage orchestral proposĂ© permet Ă  Louis Armstrong de faire Ă©voluer rapidement son bagage rythmique, les chefs d’Ɠuvre abondent au sein desquels nous indiquerons Figety Feet 1926, Queer notions 1933, Christopher Colombus 1934. Une foule immense suivit son cercueil, Ă  Harlem New York CityPaul Gonsalves 1920-1974En 1956, lors du festival de jazz de Newport, le saxophoniste tĂ©nor Paul Gonsalves qui jouait avec l’orchestre de Duke Ellington donnant pleine extension Ă  son rapport au temps dĂ©tachĂ© et fluide, semblant parfois pressentir ce qui pourra se dĂ©rouler un paquet de mesures Ă  l’avance, a confiĂ© Ă  la cire une des improvisations les plus libres, les plus fluides et les plus lunaires de toute l’histoire du jazz The diminuendo and the Crescendo in Blues . L’oreille attentive pourra entendre, dans le lointain de cet enregistrement, les grommellements approbateurs puis enthousiastes du Duke lui-mĂȘme. CitĂ© par le saxophoniste de free jazz David Murray comme une de ses influences Guy 1897-1971Ce banjoĂŻste a vĂ©cu toute sa carriĂšre dans l’orchestre du Duke ». A contribuĂ© par son tempo solide et plein d’allant a la rĂ©ussite des premiers climats jungle de l’ Billie Holiday 1915-1959Chanteuse, de loin la plus envoĂ»tante de toutes les conteuses jazz. SensualitĂ©, fragilitĂ©, expressivitĂ© souveraine font de son art l’exemple mĂȘme de la force Ă©motionnelle en jazz. Billie qui Ă©tait plus le blues qu’elle ne l’a chantĂ© a trouvĂ© dans le saxophoniste Lester Young son plus digne chevalier servant, Ă  hauteur d’inspiration l’un de l’autre. Bien qu’elle ne l’ait pas créée, elle a su s’approprier une composition d’un rĂ©alisme poignant Ă  propos du lynchage public de noirs aux USA par les racistes blancs du Sud du pays Strange fruit, 1939, thĂšme qui sera bien repris aussi par S. Bechet accompagnĂ© du pianiste Willie Smith The Lion », deux ans plus tard.Thomas Tommy » Ladnier 1900-1939Avant de confirmer sa classe dans l’orchetre de Fletcher Henderson de 1926 Ă  1928, ce trompettitte joue avec Olie Powers, Fate Marable et King Olivier. A voyagĂ© Ă  la toute fin des annĂ©es 1920 et au dĂ©but des annĂ©es 1930 en Europe, notamment Ă  Moscou, Londres et Paris. RedĂ©couvert au tout dĂ©but du mouvement revival » du jazz Nouvelle-OrlĂ©ans, Ladnier a laissĂ© l’empreinte d’un jeu dĂ©pouillĂ©, nourri de blues, oĂč le poids de chaque note compte. Play that Thing, 1923, Dyin’ by the Hour –avec Bessie Smith, 1928, Really the Blues, 1938James Bubber Miley 1903-1932Ce trompettiste accompagne dĂšs l’ñge de 18 ans la chanteuse Mamie Smith. L’écoute du King Oliver Creole Jazz Band lui procure une rĂ©vĂ©lation. Il se passionne pour les sourdines et enregistre en solo accompagne par un orgue en 1924. Sera par la suite engagĂ© par Duke Ellington de 1924 Ă  1929, avec qui il grave les plus impressionnants morceaux de style jungle The Mooche, Black and Tan Fantasy, Creole love call, Blues I love to sing. Sa grande imprĂ©gnation du style et du tempo des musiciens de la Nouvelle-OrlĂ©ans se conjugue Ă  un style droit issu du voicing des prĂ©dicateurs noirs du Sud des AprĂšs son dĂ©part de l’orchestre du Duke » est engagĂ© dans diverses formations dont celle de LĂ©o Riesmann, oĂč, pour des raisons de sĂ©grĂ©gation, il est astreint Ă  jouer derriĂšre le rideau, lors que tous jouent sous le plein soleil des projecteurs ; il n’en gravera pas moins un ultime chef d’Ɠuvre What is this thing called love ? avec cet orchestre en janvier Jr. Charlie » Mingus 1922-1979Ce pianistes dĂ©licat et contrebassiste puissant, admirateur de Jelly Roll Morton et de Duke Ellington, dans l’orchestre duquel il a briĂšvement jouĂ©, a eu comme plus proches partenaires Eric Dolphy et Fats Navarro. Homme noir en colĂšre contre les injustices qui oppriment son peuple, Charles Mingus est un musicien engagĂ©. C’est un formidable catalyseur d’énergie, et un accompagnateur extrĂȘmement stimulant, sensible, audacieux. Nul n’a fait comme lui parler » la contrebasse. Blues and roots, 1959, Goodbye Porkpye Hat, 1977.Ferdinand Joseph Jelly Roll » Morton 1885-1941Pianiste issu du ragtime et crĂ©ole attentif Ă  toutes les musiques de sa ville de Nouvelle-OrlĂ©ans, Jelly Rol, personnage de lĂ©gende, autant inventĂ© par le jazz qu’il ne l’a inventĂ© a comme principal fait d’armes et titre de gloire d’avoir complĂštement repensĂ© et orchestrĂ© le jazz de la Nouvelel OrlĂ©ans dans ses enregistrements des 1926 et 1927. cf article. Le pianiste a du charme, une main gauche encore pataude mais des talents infinis pour border et ciseler Ă  la main droite. Fat Frances, 1929. Le musicologue Alan Lomax le sort d’un anonymat injurieux en 1938 et lui laisse Ă©voquer, pour le BibliothĂšque du CongrĂšs, seul devant son piano, sa façon de se souvenir du jazz naissant et de sa ville natale. Ce document irremplaçable est depuis peu soigneusement repiquĂ© sur CD. Joseph Irish Joe Tricky Sam » Nanton 1904-1946Ce tromboniste restera fidĂšle au Duke de 1926 jusqu’à sa mort. Il fut l’un des plus grands crĂ©ateurs et stylistes du style jungle, usant d’une sourdine en caoutchouc, il tire de son instrument des sons proches de la voix humaine. TrĂšs grand sens de la construction des solos, Ă  partir de formules mĂ©lodiques simples issues droites du blues. A marquĂ© de son style les deux Ă©poques les plus dĂ©cisives de la musique de Duke Ellington la pĂ©riode jungle 1916-1931 et le grand classicisme de l’annĂ©e 1940 Ko-Ko, Jack the BearJoseph King » Oliver 1885-1938Le grand ancĂȘtre de tous les trompettistes de jazz. Il a su, unifier toutes les composantes diverses des musiques de la Nouvelle-OrlĂ©ans en en proposant dans ses enregistremetns du Creole jazz Band, en 1923, secondĂ© par son cadet et respectueux disciple Louis Armstrong, une synthĂšse nostalgique qui a ouvert le jazz Ă  l’ñge des improvisations et des improvisateurs. Trompettiste et cornettiste sensible et lyrique Dippermouth Blues, 1923, il fut un remarquable meneur d’improvisations collectives. TrĂšs juste accompagnateur des chanteurs et chanteuses de blues dont Sarah Martin et Texas Alexander Soliste de belle envergure il a confiĂ© Ă  la cire des improvisations pudiques et sensibles dont Aunt Haggar’s Blues 1928, Bozo, 1928. Un des pionniers aussi du grand orchestre jazz Nelson Stomp, 1930. DĂ©laissĂ© puis ignorĂ© ce fondateur admirable est mort dans la misĂšre la plus Christopher Charlie » Parker 1920-1955Se reporter Ă  l’article. Avec Armstrong et Coltrane un des plus grands improvisateurs sinon le pus grand en jazz. Co-fondateur avec Dizzy Gillespie du be-bop, mouvement rĂ©volutionnaire en musique que ce soit au plan des rythmes que des harmoniques.Hot House, 1945, Lover Man, 1946, Scrapple from the Apple, 1947, Leap Frog, 1950Jean-Baptiste Django » Reinhardt 1910-1953Sans nul doute avec Charlie Christian et Wess Montgomery, un des trois meilleurs guitaristes de jazz. L’originalitĂ© du manouche Django est d’avoir rĂ©ussi la fusion entre la musique afro-amĂ©ricaine et les traditions tziganes, sans folklorisme de circonstance. ArchĂ©type du musicien jouant d’oreille sans se repĂ©rer dans l’écriture figure de ces musiciens d’instinct qui ne furent pas lĂ©gion sa mĂ©moire musicale et sa culture harmonique sont confondantes. Improvisateur intarissable il s’est plutĂŽt Ă©mancipĂ© des ritournelles du jazz manouche qu’il ne les accompagnĂ©es ou escortĂ©es. TrĂšs apprĂ©ciĂ© des musiciens noirs amĂ©ricains, grand rythmicien, accompagnateur infaillible, il a enregistrĂ© des faces de toute beautĂ© avec Coleman Hawkins, Benny carter ou Eddie South. Le grand dĂ©couvreur » de la guitare jazz. Minor Swing, 1937, I’ll see you in my dreams, 1939, Blues for Ike, 1953William Rex » Stewart 1907-1967Cornettiste. S’il a jouĂ© d’abondance avant et aprĂšs son passage chez Duke Ellington, c’est bien dans cet orchestre qu’il a jetĂ© le meilleur de ses feux et a contrĂŽlĂ© sa virtuositĂ© bavarde. Ses solos oĂč il joue de notes mates et Ă©tranglĂ©es sont de toute logique et de toute beautĂ© Boy meets Horn, 1938 et plusieurs versions de concert de ce mĂȘme thĂšme.Clark TerryCe trompettiste, nĂ© en 1920, a fait ses classes chez le vibraphoniste Lionel Hampton, puis chez Count Basie Katy, 1949 avant d’ĂȘtre engagĂ© par Duke Ellington A drum is a Woman, 1956, Lady Mac, 1957. A su conseiller Miles Davis qui lui vouait, en retour, une admiration sans failles. Beaucoup de swing, d’invention et de musicalitĂ©, Clark Terry a su plus que quiconque allier tradition et modernisme. Son album Color Changes » 1960 le montre tout Ă  son avantage pudique, inventif, exigeant et prodigieux bĂątisseur d’ Tristano 1919-1978Ce pianiste d’une agilitĂ© contrapunctique hors du commun et compositeur novateur a Ă©tĂ© un immense enseignant. Il a donnĂ© au jazz cool quelques unes de ses plus fortes exigences de rigueur et d’invention rythmique et harmonique Requiem –for Charlie Parker, 1955. Il y a une Ă©cole Tristano oĂč brille notamment le saxophoniste Warne Willie Young 1909-1959Saxophonitse et aussi clarinettiste. Ce natif de la Nouvelle-OrlĂ©ans fut engagĂ© dĂšs 1936 par Count Basie oĂč il bĂ©nĂ©ficie d’un environnement favorable en raison de la qualitĂ© des solistes et de la fluide soliditĂ© de la section rythmique. Se liant d’amitiĂ© avec Teddy Wilson puis Billie Holiday, il enregistre avec cette derniĂšre Travlin’ all alone- 1937 dont il est l’accompagnateur le plus attentif et le plus stimulant. Son jeu, Ă©laborĂ© lors de son passage dans le grand orchestre de Count Basie 1936-1940 puis 1943 puis dans celui de Dizzy Gillespie 1943 est libre, cool, effaçant les diffĂ©rences entre temps fort et temps faible, et s’affranchissant, dans ses improvisations, de la graduation programmĂ©e des accords. Cet artiste a eu une grand influence sur le ajzz des annĂ©es 1950, dit jazz-cool ». Son enregistrement de These Foolish Things 1945 est un des plus remarquables exemples d’improvisation en jazz, le musicien prend appui sur les harmoniques mais s’éloigne trĂšs rapidement de la pourtant trĂšs jolie mĂ©lodie Douville[1] Harry Wills, boxeur noir de trĂšs haut niveau actif dans les annĂ©es 1910 et 1920 doit combattre Jack Dempsey pour le championnat des poids lourds, mais le match fut annulĂ©, de crainte qu'aprĂšs Jack Johnson on consacre Ă  nouveau un boxeur afro-amĂ©ricain. Les prĂ©jugĂ©s de race Ă©taient aussi trĂšs prĂ©sents dans le monde sportif. On se souviendra que la victoire de Jack Johnson sur Burns fut marquĂ©e par des agressions de meutes racistes blanches contre les noirs, et que ce formidable champion, qui commit le "crime" d'avoir Ă©pousĂ© une femme blanche dut,pour Ă©viter de faire de la prison pour cela, fuir au Canada, puis en France.[2] Un album avec donc de grandes parties Ă©crites.[3] Surnom de Clark Terry, surnom d’autres trompettistes Ă©galement dont Harry Sweets Edison chez Count Basie, puis Franck Sinatra[4] ConsidĂ©rĂ© comme l’un des premiers improvisateurs de jazz, nĂ© en 1877, ce trompettiste n’a pas laissĂ© de traces enregistrĂ©es d’une musique sans doute intermĂ©diaire entre le ragtime et le jazz Nouvelle-OrlĂ©ans, il Ă©tait rĂ©putĂ© pour sa puissance sonore, son sens du blues, son inspiration. Il est mort fou » et a passĂ© les vingt-quatre derniĂšres annĂ©es de sa vie dans l’asile psychiatrique de la Nouvelle OrlĂ©ans. À quoi pensait le grand trompettiste Red Allen lorsqu’il lui rendit visite, et Ă  quoi pensait aussi Louis Armstrong lorsqu’il retrouva un bref moment, Ă  la fin des annĂ©es trente, un King Oliver ruinĂ© et les dents tellement dĂ©chaussĂ©es qu’il ne pouvait plus jouer de trompette ? Les dĂ©buts du jazz sont traversĂ©s par la mort et la folie, la ruine. Rien de la sinistre rigolade de fanfare que de misĂ©rables analphabĂštes aiment Ă  produire en se croyant new-orlĂ©anais dans l’ñme.[5] Art pianistique propre Ă  Harlem oĂč la main gauche joue les fondamentaux de la base sur les temps pairs et un accord avec beaucoup de brisures et de variĂ©tĂ©s harmoniques en dixiĂšme sur les temps pairs. La main droite jouissant d’une libertĂ© virtuose
Unpetit solo improvisĂ© Merci @ l'invitation ! #issamKamal #guitare #solo #guitar #paris #montreuil. Jump to. Sections of this page . Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or Phone: Password: Forgot account? Sign Up. Issam Kamal. July 4 · Un petit solo improvisĂ© 🎾 Merci @babelwest.music pour l'invitation ! #issamKamal #guitare Le bonheur de savoir improviserImproviser n’est pas si simpleAppliquez-vous la bonne mĂ©thode ?Ne faites plus ces deux erreurs1 – Pratiquer comme un robot2 – Croire que l’inspiration suffitCe que vous devriez mettre en placeUn mois pour progresser Ă  vitesse grand VQu’est-ce que vous saurez faire dans 30 jours ?À court termeÀ long termeVoici les conditions pour obtenir ces rĂ©sultatsCette formation est-elle pour vous ?À qui s’adresse cette formation ?Avez-vous besoin de savoir lire la musique ?Quel est le niveau de piano requis ?Faut-il connaitre l’harmonie ou les accords jazz ?Testez des extraits de la premiĂšre semaineLa formation en dĂ©tailL’organisation des contenusLes Ă©valuationsLes thĂšmes des 4 semainesLa mĂ©thodeLes impros composĂ©esAprĂšs la formationAccĂ©dez Ă  la formation en cliquant sur le lien ci-dessousLe prix de la formationEn pratiqueJe veux ĂȘtre sĂ»r que cette formation soit pour vous Le bonheur de savoir improviser Je souhaite Ă  tous les musiciens et musiciennes de savoir improviser. C’est une forme d’expression qui permet d’exprimer ses Ă©motions sur l’instant, de se laisser aller Ă  ses inspirations,de jouer avec n’importe qui dans le blues et le jazz font partie des musiques qui offrent la possibilitĂ© de beaucoup sont aussi des musiques trĂšs prĂ©sentes un peu partout sur la planĂšte. Quelle joie de pouvoir jammer avec des artistes du monde entier, avec qui on partagent un langage commun le jazz. Improviser n’est pas si simple Ça, c’est la thĂ©orie car en pratique, ce n’est pas toujours de cette façon que ça se avec facilitĂ©, fluiditĂ©, aisance, spontanĂ©itĂ© n’est pas quelque chose qui tombe du est frĂ©quent de faire face Ă  de nombreuses que vous avez du mal Ă  comprendre les accords, Ă  les jouer au piano, Ă  les avez-vous du mal Ă  vous repĂ©rer dans la que vos doigts ne se placent pas lĂ  oĂč vous le voulez, qu’ils ne se connectent pas directement Ă  votre que les idĂ©es ne vous viennent pas, ou qu’elles vous semblent inintĂ©ressantes et que vos impros ne sonnent pas jazz, comme sur les plaisir laisse sa place Ă  la frustration et au dĂ©couragement. Appliquez-vous la bonne mĂ©thode ? J’en parle souvent dans mes vidĂ©os et mes articles beaucoup de personnes mettent en place de mauvaises stratĂ©gies pour apprendre Ă  improviser. La folie, c’est de faire toujours la mĂȘme chose et de s’attendre Ă  un rĂ©sultat diffĂ©rent ».Cette citation est attribuĂ©e Ă  Albert vous vous ĂȘtes reconnus dans un ou plusieurs des points prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ©s, c’est que votre approche peut ĂȘtre amĂ©liorĂ©e ou doit ĂȘtre comment s’y prendre ?Une des grandes difficultĂ©s quand on veut apprendre l’improvisation, est de ne pas savoir si notre travail nous aide vraiment Ă  progresser. Les progrĂšs ne sont pas linĂ©aires et on peut se rendre compte aprĂšs plusieurs semaines, mois, voire mĂȘme annĂ©es que les rĂ©sultats ne sont pas au faut savoir qu’en improvisation, certains apprentissages prennent du temps et peuvent sembler ne pas donner tout de suite de rĂ©sultats pensez aller plus vite en prenant le chemin le plus court, mais en finalement, pour certains aspects, il faut prendre une trajectoire courbe. Ne faites plus ces deux erreurs 1 - Pratiquer comme un robot En gĂ©nĂ©ral, les mĂ©thodes, les tutos YouTube, et mĂȘme souvent les cours, se concentrent uniquement sur le quoi » et pas le comment ».C’est une grosse erreur, car tant que vous n’avez pas l’état d’esprit propice Ă  l’improvisation, vous ne faites que prendre de mauvaises habitudes qui seront difficiles Ă  plus gros Ă©cueil est de ne pas jouer Ă  l’oreille. Ce que j’entends par lĂ , c’est que ce que vous jouez au piano, doit majoritairement venir de votre Ă©coute ce n’est pas le cas, vos improvisations ne dĂ©passeront jamais un certain niveau. Elles pourront mĂȘme produire une certaine impression, mais elles ne toucheront personne en tentation est grande de vouloir apprendre de nouveaux systĂšmes, de nouvelles gammes, de nouveaux accords. On pense que ces nouveaux savoirs vont enfin nous faire mieux encore une faire sonner un systĂšme, il faut l’avoir intĂ©riorisĂ© et l’avoir abordĂ© comme un qui doit prĂ©cĂ©der, c’est le chant intĂ©rieur. Mais au dĂ©but, il sera certainement dĂ©cevant, car il n’est pas encore nourri et sais qu’en dĂ©cidant de laisser Ă©merger ce chant intĂ©rieur, les premiĂšres fois, on s’expose Ă  une dĂ©ception. Elle sera d’autant plus importante qu’on improvise depuis longtemps. C’est tellement plus simple de s’exercer sans conscience et d’apprendre des phrases toutes faites. C’est tellement plus facile de replacer des licks, des patterns, et d’aborder l’improvisation de maniĂšre uniquement c’est une illusion qui vous dĂ©cevra Ă  long terme. 2 - Croire que l’inspiration suffit L’écueil inverse est de refuser le travail systĂ©matique et de penser que construire des automatismes va tuer votre erreur, je la connais bien car je l’ai faite pendant m’en dĂ©faire, il a fallu que fasse le constat que mes improvisations n’étaient pas Ă  la hauteur de mes aspirations. Ou du moins, elles ne l’étaient pas toujours. Parfois, je pouvais jouer de bonnes improvisations mais le lendemain, ça n’allait pas du fait, mon jeu Ă©tait fragile, je manquais d’assise, de problĂšme est que j’entendais beaucoup d’informations contradictoires sur la maniĂšre de s’entraĂźner Ă  l’improvisation. Globalement, c’était soit l’école de la technique », soit l’école de la crĂ©ativitĂ© », et je me sentais coincĂ© entre les deux. Ce que vous devriez mettre en place Vous voulez avoir et donner du plaisir lors de vos aspirez Ă  jouer des improvisations inspirĂ©es, quel que soit votre niveau de piano ou d’ voulez interagir musicalement dans un cherchez une constance dans le niveau de vos improvisations
Pour cela, vous devez rĂ©concilier technique et que ça, vous devez construire une technique au service de votre inspiration exercer votre crĂ©ativitĂ© pour construire votre comprendre comment y arriver, j’ai beaucoup expĂ©rimentĂ© avec mes Ă©lĂšves et Ă©vĂšnements m’ont permis de comprendre comment eux, j’ai eu la chance d’observer la pratique d’artistes qui jouent vraiment bien et que j’admire. En assistant aux sessions d’entraĂźnements de musiciens trĂšs avancĂ©s, j’ai pu comprendre comment ils s’y prenaient. Alors certes, j’aurais pu me contenter de leur demander leur plan de travail. Et d’ailleurs, en lisant des interviews, vous trouverez ce genre d’informations. Le problĂšme est qu’ainsi, on ne voit que la technique et les outils. Or, ce qui compte – c’est de capter les principes sous-jacents – c’est l’organisation qui permet d’arriver Ă  cet Ă©quilibre entre automatisme et n’est pas de savoir qu’ils travaillent tels accords, de telles maniĂšres ou qu’ils utilisent tels doigtĂ©s pour produire tels au centre de vos prĂ©occupations, doivent se trouver les principes qui servent votre expression musicale. Vous pourriez passer des annĂ©es Ă  chercher comment mettre ces principes en place. C’est un chemin riche et enthousiasmant, certes mais ce que je vous propose aujourd’hui, c’est de gagner du temps. Un mois pour progresser Ă  vitesse grand V 30 jours pour improviser sur Autumn Leaves, c’est le nom de la formation vidĂ©o que j’ai lancĂ© en avril 2021. Son but apprendre Ă  improviser Ă  la main droite sur Autumn Leaves en Ă©tant prĂ©cis et consiste en un entraĂźnement d’un mois, pas Ă  pas, avec plusieurs vidĂ©os chaque jour pour vous les jours, suivez le plan que j’ai conçu pour plan est conçu pour mettre en place les bonnes stratĂ©gies d’improvisation et acquĂ©rir la maĂźtrise des Ă©lĂ©ments harmoniques et mĂ©lodiques dont vous avez besoin pour improviser sur Autumn ne parle pas d’arriver Ă  jouer des notes qui ne sonnent pas trop mal sur cette grille, mais de vraiment aller Ă  la rencontre de votre chant intĂ©rieur sur ce vous voulez accĂ©der Ă  cette formation, cliquez iciMais d’abord, j’aimerais vous expliquer en dĂ©tail tout ce que vous y trouverez pour m’assurer que cette formation est faite pour vous et qu’elle est adaptĂ©e Ă  vos besoins. Qu’est-ce que vous saurez faire dans 30 jours ? Cette formation a deux grands objectifs vous apprendre Ă  mieux improviser sur Autumn Leaves vous apprendre une maniĂšre d’aborder l’improvisation que vous pourrez appliquer sur tous les standards de jazz. À court terme Au bout des 30 jours, vous allez vous sentir beaucoup plus Ă  l’aise sur le dĂ©roulĂ© harmonique du jouant, les fondamentales des accords vont tourner dans votre tĂȘte, sans mĂȘme y vos impros, vous saurez donc en permanence vous repĂ©rer dans la entendrez avec plus de prĂ©cisions les couleurs harmoniques du thĂšme, ce qui vous permettra de cibler les notes qui vont faire sonner les saurez passer avec fluiditĂ© d’une mesure Ă  l’autre, en repĂ©rant les notes communes ou proches des aurez acquis des techniques qui font vraiment sonner jazz vos impros arpĂšges, modes, gamme bop, notes d’approche diatoniques et vĂ©locitĂ© aura augmentĂ©, ainsi que votre prĂ©cision aurez intĂ©grĂ© de nouveaux reliefs du clavier, de nouveaux dĂ©placements. Vous connaitrez ainsi mieux votre vous jouerez en solo, en groupe ou en jam session, vous vous sentirez donc beaucoup plus Ă  l’aise, et Ă  mĂȘme d’ĂȘtre en interaction avec les autres musiciens ou connectĂ© Ă  votre chant intĂ©rieur. À long terme L’approche que je vous propose vous servira quand vous voudrez apprendre Ă  improviser sur de nouveaux ça ne sera pas clĂ© en main comme ici, mais vous aurez intĂ©grĂ© les principes importants pour tout apprentissage d’un nouveau formation est plus qu’une mĂ©thode pour jouer Autumn Leaves, c’est une mĂ©thode pour jouer tous les standards. Elle vous accompagnera tout au long de votre vie choisi ce standard car il contient tous les principaux accords utilisĂ©s dans le jazz et les principales cadences. De plus, il navigue entre majeur et mineure. En vous entraĂźnant Ă  le jouer, vous serez Ă  mĂȘme par la suite d’aborder de nombreux thĂšmes jazz. Voici les conditions pour obtenir ces rĂ©sultats Bien sĂ»r, tout cela n’arrivera pas tout seul. Vous serez guidĂ©s et orientĂ©s. Je vais vous proposer un entraĂźnement quotidien vous demandera du temps et surtout de la rĂ©gularitĂ©. Vous devez vous engager dans le processus pour obtenir des rĂ©sultats vous n’ĂȘtes pas obligĂ© de dĂ©marrer dĂšs lundi pouvez prendre la formation maintenant et dĂ©cider de la commencer plus tard. Mais une fois lancĂ©, je vous conseille d’allez jusqu’au bout avec un minimum de c’est une approche qui vous convient, c’est super ! Vous allez pouvoir continuer et poursuivre votre vous n’avez pas perdu beaucoup de temps et vous pourrez tester autre jours, c’est une bonne durĂ©e pour tester une mĂ©thode. Elle permet de lui donner une chance et de ne pas se laisser distraire par les autres objets brillants qui passent dans votre champ de de temps cela va vous prendre chaque jour ?PrĂ©voyez raisonnablement un minimum 20’ par jour. En deçà, vous n’aurez pas les rĂ©sultats escomptĂ©s. Pour un rĂ©sultat optimal, comptez plutĂŽt 45’ par vous pensez ne pas avoir le temps ou la possibilitĂ© de jouer tous les jours, vous pouvez penser la formation comme 30 Ă©tapes. Vous pouvez ainsi la suivre Ă  votre rythme. Les rĂ©sultats seront seulement un peu plus longs Ă  pour faire bouillir de l’eau, n’éteignez pas le feu trop longtemps. Alors, essayez de conserver une certaine bien que c’est la constance qui produira les meilleurs formation n’est pas non plus pour tout le monde Cette formation est-elle pour vous ? À qui s’adresse cette formation ? Elle s’adresse aux personnes qui dĂ©butent l’improvisation ou qui n’improvisent pas encore et qui veulent mettre en place une mĂ©thodologie qui les guidera vers l’aisance et le plaisir d’ s’adresse aussi aux personnes qui improvisent dĂ©jĂ  et qui ont un bon niveau, mais qui se sentent frustrĂ©es de ne pas rĂ©ussir Ă  exprimer leur potentiel. Avez-vous besoin de savoir lire la musique ? Les vidĂ©os que vous aurez Ă  disposition, montrent la partition, mes doigts et les touches qui s’allument quand je les pouvez donc jouer en lisant la partition. Pour cela, vous devez ĂȘtre Ă  l’aise en clĂ© de sol et savoir trouver facilement les notes sur le vous lisez mal les partitions, vous pourrez mĂ©moriser les exercices grĂące Ă  l’enregistrement du clavier et de la main. Ayez en tĂȘte que le but est d’improviser, et donc de se passer de partition. Je la propose comme une porte d’entrĂ©e, mais elle n’est pas un but en soit. Quel est le niveau de piano requis ? Cette formation n’est pas pour les complets dĂ©butantes. Ça n’a pas vraiment de sens de parler d’annĂ©es, car tout le monde a une courbe de progression l’expĂ©rience me fait dire que si vous ĂȘtes dans vos deux premiĂšres annĂ©es de piano, vous risquez d’ĂȘtre perdu. Mais ça dĂ©pend de votre prĂ©vu chaque jour, des contenus organisĂ©s en trois niveaux. Vous pourrez donc pratiquer les trois si vous avez dĂ©jĂ  un bon niveau, ou suivre uniquement le niveau 1 si vous ĂȘtes dans vos dĂ©buts. Faut-il connaitre l’harmonie ou les accords jazz ? Pas besoin d’ĂȘtre expert dans l’harmonie jazz ou dans la connaissance des formation va vous apprendre les 5 accords 7 de base, utilisĂ©s dans le ça sera plus facile si vous savez dĂ©jĂ  ce que sont les accords mineurs et majeurs. Testez des extraits de la premiĂšre semaine La formation en dĂ©tail L’organisation des contenus La formation comprend plusieurs semaines de contenus vidĂ©os. quotidiens organisĂ©s en trois niveaux L’évaluation vous aurez accĂšs Ă  une vidĂ©o d’apprentissage des basses du thĂšmetrois vidĂ©os pour apprendre 3 variations de l’exposĂ© du thĂšme15 vidĂ©os d’impros composĂ©esune vidĂ©o d’analyse de solo Bill Evans3 pistes audios d’accompagnements pour improviser 3 tempos diffĂ©rents Les Ă©valuations Les thĂšmes des 4 semaines Les semaines s’organisent du lundi au dimanche, ce qui fait vingt-huit jours de pratiques soit quatre thĂšmes rĂ©partis sur quatre 1 improviser avec les accords 7 et 9Semaine 2 improviser avec les notes d’approche diatoniquesSemaine 3 improviser avec les notes d’approche chromatiques Semaines 4 improviser avec les modes naturels et altĂ©rĂ©s La mĂ©thode Pendant la formation, vous allez en permanence alterner plusieurs types de libreEntraĂźnement avec exercices didactiquesApprentissage des impros/composImprovisation autour d’une thĂ©matiqueInvention des impros/composVariations de l’exposĂ© du thĂšmeL’idĂ©e est de mĂȘler rigueur dans l’acquisition des automatismes et crĂ©ativitĂ©s Ă  travers des pratiques plus ou moins les improvisations, vous pourrez utiliser des pistes audios d’accompagnements Ă  diffĂ©rents tempos. Les impros composĂ©es Les impros composĂ©es sont des sortes de mises en applications du thĂšme hebdomadaire. Elles sont lĂ  pour vous donner des idĂ©es et vous faire sentir les possibilitĂ©s d’improviser avec un matĂ©riel, au dĂ©part restreint. Vous trouverez donc chaque semaine 3 impros composĂ©es Ă©crites et jouĂ©es par mes soins, qui sont composĂ©s Ă  99 % avec le thĂšme de la semaine. Vous pourrez les apprendre comme une piĂšce vous proposerai Ă©galement d’en prĂ©parer Ellington disait que la composition est une improvisation dans laquelle on a le temps, et la possibilitĂ© de revenir en arriĂšre. Les impros composĂ©es sont pensĂ©es comme des transitions entre l’exercice didactique et l’improvisation. Elles permettent de crĂ©er la meilleure version de ce que vous pouvez exprimer Ă  un moment l’expĂ©rience, votre niveau d’improvisation se rapprochera de ces impros composĂ©es. AprĂšs la formation En 30 jours, vous allez effectuer un premier parcours de aurez une vision trĂšs claire des outils Ă  utiliser pour amĂ©liorer vos improvisations, dĂ©veloppĂ© une mĂ©thodologie solide et fait de grands vous avez suivi le niveau 1, vous pourrez la reprendre afin d’aborder les autres vous avez maitrisĂ© tous les niveaux et mĂ©morisĂ© toutes les formules, vous pourrez inventer vos propres exercices en vous basant sur la mĂ©thodologie. Ici je ne vous ai donnĂ© qu’une toute petite partie de mon rĂ©pertoire d’exercices mĂ©lodiques sur ce thĂšme. Le prix de la formation Vous allez obtenir 28 jours de programme en vidĂ©o, des partitions au format PDF, un rĂ©capitulatif de la mĂ©thodologie, des pistes audios d’accompagnements pour vous entraĂźner 15 impros composĂ©es en vidĂ©os3 exposĂ©s du thĂšme en vidĂ©oune analyse complĂšte d’un solo de Bill Evans sur Autumn Leaves. J’ai envie de partager ce travail au plus grand nombre, et qu’il soit trĂšs vous dĂ©couvrez la formation via cette article je vous offre une rĂ©duction de 100€ pour y accĂ©der. Elle passe donc pour vous de 199€ Ă  99€ En pratique La formation est hĂ©bergĂ©e sur une plateforme qui s’appelle Podia. AprĂšs avoir cliquĂ© sur le lien, vous arriverez sur la page de vos informations pour avoir accĂšs Ă  un espace dĂ©diĂ© Ă  la formation dans lequel les contenus seront chaque contenu, vous aurez la possibilitĂ© de mettre des commentaires ou des remarques, de partager vos expĂ©riences et de poser des questions. Je serai Ă  votre Ă©coute pour y rĂ©pondre. Vous pourrez aussi Ă©changer avec les autres personnes inscrites. Je veux ĂȘtre sĂ»r que cette formation soit pour vous Comme c’est la premiĂšre formation vidĂ©o que je lance, j’ai vraiment envie d’établir une relation de confiance avec suis certain de la qualitĂ© intrinsĂšque de ce que je propose, mais le processus que je propose, peut ne pas convenir Ă  tout le vous propose donc une garantie en or si la formation ne vous a pas apportĂ© les progrĂšs attendus, je vous la rembourserai, tout seule condition avoir suivi l’intĂ©gralitĂ© de la formation. Cliquez ici pour participer Ă  la formation. Ilest rĂ©putĂ© pour ses concerts solo totalement improvisĂ©s. Le pianiste amĂ©ricain de jazz Keith Jarrett ne pourra sans doute plus jamais
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Et qui peut improviser un solo de flûte torride ? Plus de résultats Les sept musiciens accompagnent les aventures d'un homme ordinaire de l'époque, accompagné de la sublime danseuse Laure Line ANDREI qui ensorcelle Pierre RICHARD dans une danse intérieure prenante, pendant que le saxophoniste improvise un solo enjoué et envoutant. The seven musicians accompany the adventures of an ordinary man of the time, accompanied by the sublime dancer Laure Line ANDREI that bewitches Pierre RICHARD involved in a internalized dance, while the saxophonist improvised a playful and enchanting solo. Dans cette vidéo projetée dans l'environnement lumineux imaginé par son épouse Marian Zazeela, l'artiste improvise un solo pour piano pendant 6 heures et 43 minutes sur le principe d'intonation juste, performant des sons éternels qui se déploient dans l'espace magenta. In this video projected in the lit environment imagined by his wife Marian Zazeela, the artist, improvises a solo for piano during six hours and forty-three minutes on the principle of accurate intonation, performing eternal sounds which unfold in the magenta space. Ron Thal a improvisé un solo de Don't Cry mais ils n'ont pas joué la chanson et le public a commencé à chanter la chanson. Ron Thal did a bit of Don't Cry during one of his solos the band didn't play the song though and the audience started to sing the song. Le piano exécute un solo improvisé. Un solo improvisé bien construit, inspiré, doit réellement raconter une histoire ! Il préfÚre improviser ses solos de guitare en studio d'enregistrement. He prefers to improvise his guitar solos in the recording studio. "Une invitation à l'évasion... Quelques magnifiques miniatures improvisées en solo" "An invitation to escape... Some beautiful miniatures improvised solo" Polyphonies vocales et unissons, développements composés et solos improvisés. Vocal polyphony and unisons, composed development and improvised solos. L'interaction entre des solos improvisés, qui créent une chanson. Ils avaient la liberté d'improviser dans leurs solos. Une superbe énergie émerge des solos improvisés de ce morceau. Cette option est utile pour les parties de section rythmique et les solos improvisés. Les 58 dates sont houleuses, la plupart du temps Vinnie ne suit pas les consignes et improvise des solos sous les yeux médusés des 2 leaders... The fifty-eight dates were stormy and most of the time, Vinnie did not respect the orders and improvised the solos under the two leaders' puzzled eyes. Dans les années 1980, il s'est fait plus rare sur scÚne, n'apparaissant généralement que dans des solos improvisés. In the 1980s, Paxton performed in public infrequently and usually only appeared in improvised solos. La veille, je jouais pour la premiÚre fois un concert solo improvisé au Centre Culturel de Dunkerque. The night before, I played solo at Centre Cultural de Dunkerque, an "improvised" concert. Selection de gammes connues que vous pouvez jouer avec un accord Gb6 pour improviser de bons solos sur votre Ukulele. Selection of famous scales you can play on a Eb6 chord to improvise great solos on your Uke. De ce fait, son travail s'oriente essentiellement vers les différentes formes de musiques improvisées, allant du solo au grand ensemble. As a result, his work is mainly directed towards the different forms of improvised musics, ranging from solo to large ensemble. Cheqara chanté Andalouse et Marocaine traditionnelle du folklore dans mawawil solo improvisé, inshad solo les styles. Cheqara sang Andalusian and traditional Moroccan folksongs in mawawil improvised solo, inshad solo styles. Lefebvre fait de la musique noise improvisée en solo depuis 2011, allant au delà des utilisations classiques, dépassant les capacités des instruments et des machines pour en retirer leurs empreintes musicales et leurs non-musicalités. Lefebvre has made improvisational noise music as a solo artist since 2011, going beyond the intended uses and capabilities of instruments and machines to draw out their musical and non-musical sounds. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 1656. Exacts 1. Temps écoulé 362 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200

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Voici la suite de l’article sur l’improvisation, je vous invite Ă  lire la premiĂšre partie afin de bien comprendre ce qui va suivre . Dans la premiĂšre partie, on a abordĂ© la question des gammes pentatoniques, de modes et de la notion de tonalitĂ© points 1, 2, 3. Sans plus attendre voici la suite ! 4. Apprendre les arpĂšges. Quand nous parlons d’arpĂšges, cela ne veut pas dire prendre les accords ouverts en haut du manche mĂȘme si on peut le faire et les arpĂ©ger. Mais plutĂŽt connaĂźtre les arpĂšges majeur 7, mineur 7, dominante, mineur 7 bĂ©mol 5. Qu’est ce que ça veut dire concrĂštement ? Prenons Do Majeur 7, il est composĂ© des notes C, E, G, B. Un arpĂšge consistera dans le fait de jouer les notes de cet accord l’une aprĂšs l’autre, plutĂŽt qu’en mĂȘme temps. Pour cela, il faut apprendre les arpĂšges comme on apprend les gammes. Un bon point de dĂ©part, c’est de connaĂźtre les arpĂšges en partant de la corde de E et de A. Une fois les arpĂšges sus, il faut pouvoir les mĂ©langer Ă  nos improvisations modales et tonales. Plus gĂ©nĂ©ralement, tout ce que vous apprenez s’ajoute » Ă  ce que vous savez dĂ©jĂ  faire. Vos plans pentatoniques ne sont donc Ă  proscrire. 5. Apprendre Ă  jouer la grille d’un morceau seulement avec des arpĂšges. Le terme grille » dĂ©signe l’ensemble des accords d’un morceau. Prenons un II V I en Do. Le premier accord sera Dmin7, sur cet accord vous improviserez dĂ©jĂ  avec les notes de cet accord Ă  savoir D F A C. Ce qui donne dĂ©jĂ  quelques possibilitĂ©s D F A C, C A F D, F A C D
 etc. Puis sur le second et troisiĂšme accord, vous procĂ©derez de la mĂȘme façon. Le bĂ©nĂ©fice de cette approche c’est que vous allez dĂ©crire » l’harmonie du morceau de maniĂšre prĂ©cise. Globalement pouvoir dĂ©crire un accord par les arpĂšges est indispensable pour faire du jazz et indispensable aussi pour tous les musiciens improvisateurs. Vous pourrez jouer ce morceau sans qu’un autre musicien vous accompagne car vous allez directement pouvoir spĂ©cifier de quelle grille il s’agit. Avec la pratique, quelqu’un peut jouer simplement des arpĂšges et vous pouvez dire il s’agit d’un blues », il s’agit de la grille d’All the things you are », etc. mĂȘme s’il ne joue pas toutes les notes des arpĂšges. 6. L’importance des tierces et septiĂšmes. Dans les arpĂšges certaines notes seront plus importantes que d’autres. À ce titre la tierce et la septiĂšme donnent des informations clĂ©s sur la nature de l’harmonie. Pour comprendre cela prenons C majeur 7 C E G B et C mineur 7 C Eb G Bb. Si nous jouons C et G tonique et quinte sur les 2 accords, nous n’allons pas spĂ©cifier » la nature de l’accord. Une fois les tierces et septiĂšmes de vos accords bien connus, il est possible de relier » ces tierces et septiĂšmes pour crĂ©er des passerelles entre ces accords. Pour reprendre l’analogie du langage, placer les tierces et septiĂšmes, c’est comme indiquer le sujet et le verbe dans vos phrases. On comprend l’essentiel mais le reste des notes seront comme des adjectifs, adverbes et autres complĂ©ments d’objets pour enrichir vos phrases. Pourquoi parlons-nous des tierces et septiĂšmes APRÈS les arpĂšges alors qu’ils sont contenus dans les arpĂšges? Au dĂ©but, un guitariste va avoir pour challenge premier de repĂ©rer et d’apprendre les arpĂšges. Il faut les mettre sous les doigts », et globalement, c’est un challenge en soi. La plupart des guitaristes ne connaissent pas les notes du manche quand ils commencent Ă  se familiariser avec ces problĂ©matiques. Nous considĂ©rons qu’apprendre ces notes en parallĂšle est une excellente chose. Ainsi, on peut procĂ©der de la sorte -apprendre les notes du manche de la guitare -apprendre la forme »/le doigtĂ© de l’arpĂšge -renforcer sa connaissance de l’arpĂšge en chantant et en se focalisant sur les notes -apprendre la nature des notes tonique, tierce, quinte, septiĂšme afin de parfaire sa connaissance de ces arpĂšges. Ce sont des Ă©tapes qui prennent du temps, donc ne vous dĂ©couragez pas. 7. Jouer les extensions des accords Bien jouer les arpĂšges des accords constitue dĂ©jĂ  un gros travail, et surtout c’est trĂšs formateur. Si vous avez cela d’acquis, alors vous ĂȘtes dĂ©jĂ  sur la bonne voie pour ĂȘtre un improvisateur Ă©clairĂ©. Afin de rajouter d’autres couleurs, il est nĂ©cessaire de connaĂźtre les extensions des accords ce sont les notes qui fonctionnent en dehors des notes de l’accord. Prenons l’exemple de C Maj7 qui contient les notes C E G B. Si je joue une de ces 4 notes sur cet accord, cela va Ă©videmment fonctionner. Mais je peux rajouter 3 extensions » en plus la 9Ăšme D, la 11 F, et la 13Ăšme A. Voici les extensions que l’on peut rajouter sur chaque type d’accord Maj7 – 9, 11, 13 min7 – 9, 11 Dominante7 – 9, 11 devient sus4, 13, mais Ă©galement b9, 9, 11, b13 si l’accord est altĂ©rĂ© min7 b5 – 11, b13 Tout cela reste thĂ©orique par exemple, la 5 est une tension que l’on retrouve de plus en plus sur accord Maj7. Il y a aussi d’autres tensions possibles par exemple la 9 naturelle sur un accord min7b5, mais tout d’abord il faut se familiariser avec les extensions les plus communes. Mais dans un premier temps, on peut se familiariser avec ces couleurs de 2 façons -les rajouter Ă  nos accords. –enregistrer un accord par exemple C min7 et jouer les extensions par dessus D puis F dans un premier temps. Puis tenter la 13. La b13 est liĂ©e au mode Ă©olien, et fonctionnera surtout en note de passage. le demi ton avec la quinte ne risque pas de faire bon mĂ©nage 8. Comprendre la notion de chord-scale » Une fois l’harmonie dĂ©finie par les arpĂšges, il est possible d’intĂ©grer la notion de chord-scale ». comprendre gamme liĂ©e Ă  un accord » Qu’est ce que c’est ? C’est tout simplement une gamme que l’on peut jouer sur un accord. Exemple C majeur 7, nous pouvons jouer C D E F G A B. Toutes les notes ici fonctionneront, sauf peut ĂȘtre F la quarte, et encore en note de passage, elle sonnera trĂšs bien, car elle va crĂ©er une dissonance avec le E demi-ton. Quel est l’intĂ©rĂȘt des chord-scales? Elles sont parfaites pour crĂ©er les passerelles dont on parlait juste avant. En rĂ©alitĂ©, connaĂźtre les arpĂšges et les extensions est Ă©quivalent Ă  l’approche par chord-scale ». Seule l’organisation de l’information est diffĂ©rente. Par exemple CMaj7 + extensions C E G B, D F A chord-scale C Maj lydien C D E F G A B Laquelle est meilleure ? Aucune. Les deux sont utiles et sont Ă  connaĂźtre. Voici une technique trĂšs puissante pour crĂ©er des solos mĂ©lodiques utiliser les notes d’accord surtout tierce et septiĂšme donc comme point de dĂ©part et d’arrivĂ©e, puis utiliser les notes en plus du chord-scale comme transition. Alors bien sĂ»r vous n’allez pas faire uniquement cela de maniĂšre systĂšmatique, car vous serez ultra prĂ©visible. Mais c’est un excellent exercice qui va rendre vos improvisations trĂšs solides. L’autre intĂ©rĂȘt des chord-scales c’est que vous allez pouvoir superposer diffĂ©rentes gammes sur un mĂȘme accord. Par exemple sur C majeur 7, il est courant de jouer la gamme de Sol vous aurez donc un F en plus. On appelle ce mode le mode lydien. L’avantage est double vous Ă©viter le F qui ne fait pas bon mĂ©nage avec E et vous jouer le F, qui va donner une couleur un peu mystĂ©rieuse Ă  votre accord. Autre exemple sur un accord de 7Ăšme de dominante, on peut jouer une gamme mixolydien, mixolydien 4, altĂ©rĂ©, diminuĂ©, et tant d’autres possibilitĂ©s ! 9. Ajouter de la tension sur les accords Jusqu’à prĂ©sent vous avez voulu jouer in », c’est-Ă -dire dans » les accords. Avec la notion de chord-scale », vous allez vouloir ajouter Ă  cela des dissonances pour crĂ©er du contraste. Elles seront dissonantes au dĂ©but mais rapidement elles ne seront que des couleurs comme la couleur de la tonique ou de la 9Ăšme. Quand on dĂ©bute l’improvisation, on a tendance Ă  croire que les notes fausses » sont des accidents pour les improvisateurs. En rĂ©alitĂ©, c’est totalement calculĂ© et voulu. Globalement avec ces chord-scales vous allez structurer vos dissonances. Une leçon importante Ă  retenir jouer avec conviction fera bien sonner n’importe quelle note que ça soit la tonique ou la note la plus dissonante possible. L’intention est plus que recommandĂ©e, elle est indispensable. Certaines de ces notes seront plus ou moins surprenantes par exemple la b13 ou la quinte augmentĂ©e sur un accord de dominante, ou encore la b9, ou la 9 donneront une couleur trĂšs particuliĂšre Ă  vos accords de dominante. 10. Globalement ici vous avez les outils principaux pour improviser AprĂšs, vous pourriez creuser un systĂšme ou vous dĂ©cidez de tout oublier et de ne jouer qu’à l’oreille. Ou un peu des deux. Il y a d’autres concepts comme -la gamme diminuĂ©e -la gamme par ton -les modes du mineur mĂ©lodique et harmonique -les triades majeure, mineure, diminuĂ©e, augmentĂ©e, sus4 comme super-structure des accords -et tant d’autres choses! Ces concepts la plupart du temps renvoient Ă  des concepts dĂ©jĂ  vus auparavant mais les organise diffĂ©remment par exemple les triades ce sont des extensions des accords vus sur les points 6 et 9 ParallĂšlement -Il faut travailler son sens du rythme. Pour vous donner une analogie travailler son rythme est aussi indispensable pour le musicien que de respirer pour un ĂȘtre humain. Tout le monde prĂ©fĂ©rera quelqu’un qui joue des notes dissonantes mais un sens du rythme infaillible que quelqu’un qui aura des phrases aussi harmoniquement recherchĂ©es que Kurt Rosenwinkel mais qui n’aura aucun sens rythmique. Ne pas travailler son rythme revient Ă  Ă©crire sans point, ni virgule, ni majuscule, sans grammaire, avec des fautes d’orthographe, 
 voire pire. –Relever des phrases Ă  l’oreille Vous aimez Wes Montgomery? Vous pouvez lire tous les textes du monde sur ce guitariste, mais rien en vous apprendra plus sur son jeu et peut ĂȘtre sur lui que de relever une phrase, c’est Ă  dire de repiquer Ă  l’oreille et de jouer cette phrase. Il y a Ă©normĂ©ment de paramĂštres sur lesquels vous allez progresser grĂące aux relevĂ©s rythmique, harmonique, mĂ©lodique, rythmique. Vous avez des phrases d’impros sans imagination? Faites des relevĂ©s. Vous avec des phrases qui ne swinguent pas? Faites des relevĂ©s. Vous voulez savoir comment jouer sur une grille simple ou complexe? Faites des relevĂ©s. –Écouter de la musique Plus vous allez Ă©couter un artiste, plus vous allez sonner comme lui. MĂȘme si vous ne le transcrivez pas. Il est certain que d’écouter qu’un artiste en boucle va plus vous influencer que de relever une seule phrase de lui. VoilĂ  c’est la fin de ce mini-guide pour commencer Ă  improviser, il y a encore beaucoup Ă  dire et Ă  faire, mais maintenant que vous avez une base, prenez chaque point et approfondissez les un Ă  un. Vous trouverez d’autres articles prĂ©sents ou futurs sur ce blog pour vous aider dans cette aventure !
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