Maisrien de tout ça n'apparaît dans le scénario que l'on peut parcourir à la bibliothèque de Cushing (qui se contente de l'indication "INTERTITRE: GAME OF THRONES" en guise de générique).
Thomas Brodie-Sangster né le 16 mai 1990 à Londres, en Angleterre, est un acteur britannique. Il interprète le rôle de Jojen Reed dans la troisième et quatrième saison de Game of Thrones.. Biographie Il est né dans le sud de Londres, où il vit actuellement avec sa sœur Ava et leurs parents Mark Sangster et Tasha Bertram. Sa mère, danseuse et actrice, est apparue dans de nombreux films produits par la British Broadcasting Corporation BBC. Son père est un acteur et musicien, consacré dans l'adaptation musicale du Roi Lion en Allemagne. Thomas Sangster a un lien de parenté avec Hugh Grant l'arrière-grand-mère de Thomas Sangster était la sœur de la grand-mère de Hugh Grant. C'est à la BBC qu'il doit son premier rôle dans un téléfilm The Adventures of Station Jim. Puis il est apparu dans plusieurs autres téléfilms, y compris dans des rôles importants comme dans Bobbie's Girl, The Miracle Of The Cards basé sur un scénario de Craig Shergold et Stig of the Dump. Il a obtenu le prix du meilleur acteur pour une mini-série en 2003 au Festival du film de Monte-Carlo pour son rôle dans la minisérie "Entrusted". Il a aussi fait une apparition dans la série Doctor Who, la saison 3 La Famille de sang et Smith, la Montre et le Docteur aux côtés de David Tennant et Freema Agyeman. Love Actually, dans lequel il joue le beau-fils de Liam Neeson, est son premier rôle majeur. Pour ce rôle, il a été nommé au Golden Satellite Award et au Young Artist Award. Par la suite, il est apparu à la télévision dans une adaptation d'une nouvelle Feather Boy et a joué dans une récente version de Tristan et Iseult tourné en République tchèque où il incarnait Tristan jeune, le rôle adulte étant interprété par James Franco. Son deuxième grand succès est dans Nanny McPhee, où il est l’aîné d'une fratrie de sept enfants. Il a joué également dans The Fence, une histoire sur le thème de l'Holocauste. En 2009, il tient le rôle de Paul McCartney adolescent dans le film Nowhere Boy qui relate la jeunesse de John Lennon. En 2013, il tient le rôle principal dans le court métrage Orbit Ever After. En janvier 2010, en tant que bassiste, il rejoint le groupe londonien Winnet, dans lequel sa mère, Tasha Bertram assure le chant. Il a été l'un des acteurs pressentis pour incarner Tintin dans Les Aventures de Tintin Le Secret de la Licorne réalisé par Steven Spielberg, mais finalement c'est Jamie Bell qui a décroché le rôle titre. Filmographie Cinéma Films 2002 Mrs Meitlemeihr de Graham Rose le garçon 2003 Love Actually de Richard Curtis Sam 2005 Nanny McPhee de Kirk Jones Simon 2006 Tristan et Yseult Tristan + Isolde de Kevin Reynolds Jeune Tristan 2007 La Dernière Légion The Last Legion de Doug Lefler Romulus Augustule 2009 Bright Star de Jane Campion Samuel Brawne 2010 Nowhere Boy de Sam Taylor-Wood Paul McCartney 2011 Hideaways d'Agnès Merlet Liam adolescent 2012 The Baytown Outlaws Les Hors-la-loi de Bary Battles Rob 2013 Death of a Superhero de Ian FitzGibbon Donald Clarke 2014 Le Labyrinthe The Maze Runner de Wes Ball Newt 2014 Phantom Halo de Antonia Bogdanovich Samuel Emerson 2015 Le Labyrinthe La Terre brûlée Maze Runner Scorch Trials de Wes Ball Newt 2015 Star Wars Episode 7 Le Réveil de la force de Abrams Sergent Thanisson du Premier Ordre 2018 Le Labyrinthe Le Remède Mortel Maze Runner Death Cure de Wes Ball Newt Télévision Téléfilms 2001 L'enfant qui ne voulait pas mourir The Miracle of the Cards de Mark Griffiths Craig Shergold 2001 Station Jim de John Roberts Henry 2002 Bobbie's Girl TV de Jeremy Kagan Alan Langham 2003 Hitler La Naissance du mal Hitler The Rise of Evil de Christian Duguay Adolf Hitler à dix ans 2003 Daddy Entrusted de Giacomo Battiato Thomas von Gall 2005 Julian Fellowes Investigates A Most Mysterious Murder - The Case of the Croydon Poisonings de Delyth Thomas John Duff 2008 Pinocchio, un cœur de bois Pinocchio d'Alberto Sironi Lucignolo Crapule 2011 Phinéas et Ferb, le film Phineas and Ferb, the Movie Across the 2nd Dimension de Dan Povenmire et Robert F. Hughes voix de Ferb Fletcher 2013 Phineas et Ferb 2 Mission Marvel Phineas and Ferb Live Action de Dan Povenmire et Robert F. Hughes voix de Ferb Fletcher Séries télévisées 2002 Stig of the Dump Barney 2002 La Brigade du courage London's Burning Stephen 2004 Feather Boy Robert Nobel 2007 Doctor Who, saison 3, épisodes 08 et 09 Tim Latimer 2007 Phinéas et Ferb voix de Ferb 2011 Inspecteur Lewis Adam 2013-2014 Game of Thrones Jojen Reed
MêmeDavid Nutter, réalisateur de la moitié de la dernière saison de "Game of Thrones", reconnaît n’avoir pas la réponse à toutes les questions. ACCUEIL MAIL
En 2014, l'exclusion a un nouveau nom Game of Thrones. Sournoisement, progressivement, l'ennemi a scindé la planète en deux groupes distincts, qui depuis lors peinent à communiquer ceux qui regardent, et ceux qui ne regardent PAS la " série-phénomène ". Ceux-là vivent des heures douloureuses alors que le soap médiéval semble recruter chaque jour plus de fidèles adorateurs. Et parce que ce rejet d'autrui est intolérable, voici 5 sentiments douloureux que les laïques du streaming aimeraient ne plus jamais vivre, et dont il serait bon que les mystiques fanatiques prennent enfin conscience. 1. L'exclusion en milieu professionnel " Me dis pas NAN ME DIS PAAAAAS ! " Depuis quelques temps, le lundi matin, ils sont nombreux à pousser de petits cris à l'heure du gobelet et de l'habituel ronronnement post-week-end qu'il était autrefois de bon ton de maintenir jusqu'au mardi. " Alooors ? C'était comment ? GÉNIAL ? Nan ! Oh j'ai envie de rentrer chez moi TOUT DE SUITE ! "... Alors que la bande de ceux " qui en sont " partage, rit à gorge déployée, s'excite, le non GOTien souffre en silence derrière son écran, buvant sa honte plutôt qu'un café, et cherche du regard un antédiluvien adepte de Zone Interdite comme lui. Las, son groupuscule se réduit chaque jour davantage. Il est seul. Le mardi, rebelote avec la diffusion française. La souffrance au travail a désormais un autre visage, celui d'une secte nouvelle dont les membres tout-puissants, persuadés de faire partie d'une élite, divisent sans pitié. Ceux qui savent savent, les autres sont marginalisés. 2. Le vieillissement prématuré " Got " ? " Have you got " ? Gothique ? Des jours durant, l'exclu s'est posé la question, tel un quadra confronté à de rigolards ados s'interpellant dans un langage incompréhensible. Jusqu'au jour où, n'y tenant plus, il s'est lancé " Euh... c'est quoi, GOT ? " Les regards empreints de mépris des uns, la pitié, la haine parfois, puis le rejet lui auront fait regretter cette fatale erreur. Une bonne âme aura eu beau lui apprendre que " GOT " signifiait " Game of Thrones ", qu'il continue par ailleurs à prononcer " Srone ", l'exclu de la secte vivra pour toujours avec cette impression de s'être trompé d'époque. Sur son front, " ringard " clignote tel un néon de Motel. 3. La peur ATTENTION SPOILER ! Sur Facebook, dans tous les médias online dont le nôtre, chaque jour, chaque heure, les injonctions plus ou mois aimables à fermer sa gueule sautent au visage du novice. Inlassablement confronté à ces menaces à peine déguisées, à ce vocabulaire de la terreur, notre marginal du petit écran est poussé au silence, plein d'une culpabilité grotesque puisqu'il ne sait rien, rappelons-le. Horrifié à l'idée de mal faire en plus d'être ringard et exclu, l'inadapté cathodique n'a alors plus aucune chance d'intégrer cette société nouvelle, réduit à l'inaction par ce gouvernement de la censure. " Tu regardes GOT ? " NOOOON, Non non, je ne sais RIEN je le JURE ! 4. Le "désarçonnement stylistique" Un nain barbu, des dragons chelous, d'évanescentes Dames Frénégonde arborant une chevelure d'un autre âge, roulottées torsadées comme dans les années 2000... L'aficionada de Sex and the City et autres Gossip Girl est désarmée. Que faire de cette série où l'on se vêt de vieilles toiles de jute cintrées au cordage de bateau ? Comment roulotter-torsader sa crête à la Miley qu'on vient de copier sur celle qu'on croyait prescriptrice de tendances ? Si l'on ajoute à ce mauvais goût patenté la présence de licornes de poster, d'une recrudescence de raies au milieu, de mèches grassouilles et de boucs eighties, on aura vite compris l'objectif de nos malveillants amoureux de la Fantasy se venger des populaires fans de Melrose Place de leur adolescence. C'est moche. Reviens, Amanda Woodward ! 5. La colère Et si tout ce complot n'avait d'autre objectif que d'éradiquer complètement la planète de tout non-GOTiens ? Certes, à certaines époques, il eût été impensable d'avouer en public n'avoir jamais vu Le Parrain, avoir détesté Pulp Fiction, s'être endormi devant Usual Suspect ou ne pas bien comprendre l'intérêt de 24 Heures, les dérives sectaires de GOT prennent aujourd'hui des proportions bien plus alarmantes. Et si, dans un premier temps, l'ostracisé a planqué sa condition, aujourd'hui, sa colère gronde. La GOTophobie prend de l'ampleur, faisant chaque jour plus d'adeptes qui n'en peuvent plus d'être ainsi écartés d'une société à laquelle ils ne comprennent plus rien. Sachez-le, personne ne vous force à commencer. N'en regardez pas " juste un petit " pour avoir l'air cool. " Je ne regarde pas Game of Thrones ". Dites-le, n'ayez pas honte, et tenez bon. Vous n'êtes plus seul.
Onne sait encore rien de la huitième saison de Game of Thrones – qui sera aussi la der des ders – sinon que la diffusion des 6 ultimes épisodes commencera en avril 2019.Les créateurs de la
"You know nothing Jon Snow" Tu ne sais rien Jon Snow, en français. L'expression d'Ygritte va peut-être être démentie dans la saison 5 de Game of Thrones. L'épisode 4, diffusé dimanche 3 mai sur HBO aux États-Unis et lundi 4 mai sur OCS en France, a dévoilé des indices qui pourraient lever le voile sur les origines du personnage interprété par Kit Harington. Attention, tout ce qui suit est un SPOILER. Depuis la sortie du roman de George R. R. Martin en 1996, et son adaptation en série télévisée en 2011, Game of Thrones ne cesse de déchaîner les passions. Et le mystère sur lequel les fans de la saga adorent théoriser est celui des origines de Jon Snow. L'épisode 4 a laissé entrevoir que l'hypothèse préférée des adeptes de la série pourrait être la bonne R + L = J. R + L = JCette supposition veut que le prince Rhaegar, fils d'Aerys Targaryen et Lyanna, sœur de Ned Stark aient entretenu une liaison secrète, et que Jon serait le fruit de leur amour. L'histoire se déroule avant le début de la saga. Rhaegar, héritier du trône de fer et fiancé à Elia Martell, sœur d'Oberyn Martell, serait tombé amoureux de Lyanna Stark, promise à Robert Baratheon, lors du Grand Tournoi de Chevalerie d'Harrenhal. Durant une joute, il la nomme "reine de beauté" puis l'enlève et l'emmène à Dorne. Rickard et Brandon Stark, le père et le frère d'Eddard vont alors demander à Aerys de faire libérer Lyanna. Le roi fou va les faire condamner à mort et, déclencher ainsi, la guerre de rébellion contre la couronne. À la fin de ce conflit, Rhaegar est tué par Robert Baratheon, et Ned Stark retrouve sa sœur à la Tour de la Joie pour la libérer. Arrivé sur place, il découvre Lyanna mourante sur "sa couche sanglante", une image qui pourrait signifier qu'elle décède en accouchant. L'histoire précise alors qu'elle va faire promettre quelque chose à son frère avant de trépasser. Peut-être la promesse de protéger son secret Jon Snow. Rhaegar violeur ou chanteur ?L'épisode 4 met sur la piste de cette théorie. La scène la plus parlante est celle qui se déroule dans les cryptes de Winterfell où Sansa est en train de se recueillir devant les sépultures de ses ancêtres et celle de Lyanna. Petyr Baelish, alias Littlefinger, revient sur l'histoire entre Rhaegar et l'héritière du Nord. Sansa dit alors "Il l'a choisie, puis l'a kidnappée et violée." Ce à quoi Petyr Baelish répond par un silence et un sourire en coin. Dans le même épisode, mais sur un autre territoire, Barristan Selmy confie à Daenerys des anecdotes sur la personnalité de son frère. Il dépeint un Rhaegar loin du violeur de Sansa, mais qui "n'a jamais aimé tuer" et qui préférait "chanter". La scène entre Jon Snow et Mélisandre est également assez équivoque. La prêtresse rouge cherche à séduire le nouveau Commandant de la Garde de nuit et à s'accoupler avec lui "Ce pouvoir en vous, le pouvoir de donner la vie, de créer la lumière,et de protéger des ombres." Le bâtard Stark refuse les avances de Mélisandre qui cherche à se reproduire uniquement avec des personnes de sang royal Stannis dans la saison 2, Edric Storm, le bâtard de Robert Baratheon dans la saison 3. L'identité de la mère de Jon Snow à la base de la création de la sérieEnfin, Stannis lève également le voile sur un point important de cette hypothèse. Durant une discution avec sa femme Selyse, cette-dernière lui dit que Jon Snow est "le bâtard d'une prostituée de taverne". Stannis répond alors "Peut-être, mais cela m'étonnerait de la part de Ned Stark." L'ancien gouverneur du Nord est effectivement connu pour son honnêteté et son sens du devoir, des qualités qui l'ont d'ailleurs conduites à la mort. Tromper sa femme se révèle donc être très étonnant de la part de ce personnage. Les épisodes à venir donneront certainement de nouvelles clés aux téléspectateurs sur les origines de Jon Snow. Si sa parenté avec Rhaegar et Lyanna est avérée, il deviendrait alors un des personnages les plus importants de la saga et pourrait prétendre au fameux trône de fer. Il serait alors la parfaite illustration du titre du roman A Song of Ice and Fire une chanson de glace et de feu en français. David Benioff et Dan Weiss, créateurs de la série, répètent souvent que George R. R. Martin leur a donné sa bénédiction après qu'ils aient répondu correctement à une question "Qui est la mère de Jon Snow ?" L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
EmmaD’Arcy, étoile montante du petit écran. Dans sa ville natale, Londres ou en Espagne sur les lieux du tournage du prequel de “Game of Thrones”, Emma D’Arcy n’en est pas à son coup d’essai quand il s’agit de mettre le feu sur les planches.Au théâtre ou à la télévision, Emma s'est déjà illustrée, du haut de ses 30 ans, dans de nombreuses productions, de la
You really know nothing, Jon Snow. Alors que la conclusion de la saison 6 de Game of Thrones se rapproche à grands pas, Kit Harington a été interrogé par la BBC sur la fin de la série. "Avez-vous une idée de comment tout ça se termine", a demandé la journaliste radio à l'acteur qui incarne Jon Snow dans la série HBO. "Non", a-t-il lâché dans un sourire, après une brève hésisation. "Bien sûr que non. Ils ne nous disent jamais rien ! J'ai mes propres théories, mais je ne les partagerai jamais... Je serai très triste quand ce sera fini", Game of Thrones "a été m'a accompagné une grande partie de ma vingtaine ... Ça va laisser un énorme trou dans ma vie. Mais avant que cela n'arrive, on a encore de gros épisodes. Je suis très pressé de les tourner - si je suis dedans". Game of Thrones, saison 6 le final sera l'épisode le plus long de toute l'histoire de la série Évidemment, Harington n'allait pas révéler la fin de Game of Thrones aussi facilement. Et on sait qu'il a passé un an à mentir à tout le monde au sujet du retour de Jon Snow... La saison 6 de Game of Thrones continuera dimanche soir, sur HBO et en France dès le lendemain sur OCS. Gameof Thrones : Jason Momoa furieux après qu'un journaliste le questionne sur les scènes de viol De Gaetan Desrois - Posté le 15 août 2021 à 17h25 dans Séries TV 26 CULTURE - Le degré de violence de games of thrones dépasse ce que s'autorisaient, jusque-là, les séries où la violence est pourtant, plus encore que le sexe, un aimant au pouvoir d'attraction synonyme de profit. Le 3e épisode de la saison 4 fit pousser des cris d'orfraie un frère violait sa sœur sur les marches du catafalque où se trouvait le cadavre de leur fils. Les marches ne s'y prêtant pas, le frère étant manchot et la sœur portant une longue et lourde robe, ce n'était pas chose aisée et l'on imaginait le réalisateur faisant rejouer la scène plusieurs fois. Mais le frère faisait de son mieux, ahanant à peine, et la sœur, jusque-là consentante, couinait soudain "C'est mal! C'est mal!". Bref, c'est, dans Game of Thrones, une scène où le spectateur peut rire sans honte il n'y a pas de déshonneur à rire du grand-guignolesque, lequel ne manque pas dans cette série. Le bruitage, par exemple. Alors que, d'un épisode à l'autre, on égorge à tour de bras et en gros plan, d'aucuns ont dû penser que le spectateur, à voir un couteau fendre une gorge d'une oreille à l'autre, à contempler le geste du meurtrier qui, fermement et sans émotion, ôte son épée de la poitrine où il l'a plongée, ne parviendrait pas à prendre la mesure de toute l'horreur qu'on lui montrait si l'on n'y ajoutait quelque son qui vienne en amplifier l'atrocité. Le public est donc gratifié, au-delà de l'image qui n'épargne rien des détails, du bruit qu'est censé faire le sang lorsqu'il jaillit, en geyser, d'une gorge tranchée, d'un corps éventré. Et, que Jacques Brel les pardonne, "ça fait des grands flchss, ça fait des grands flchss". L'idée, sans doute, que ce font d'une hémorragie les réalisateurs du Trône de fer. Oh, il n'y a pas que du ridicule. Entre deux décors tantôt hideux, tantôt joliment irlandais ou marocains, il y a parfois une trouvaille, quelque suspens, parfois même un soupçon de poésie, de romantisme. Cela ne va pas jusqu'à l'amour courtois, mais entre moult scènes de bordels ou de guerre est glissée, à bon escient, car il faut entretenir le plaisir des sentimentaux, quelque action ou intention chevaleresque. Le problème est ailleurs. Il est dans un degré de violence qui dépasse ce que s'autorisaient, jusque-là, les séries où la violence est pourtant, plus encore que le sexe, un aimant au pouvoir d'attraction synonyme de profit. Les Sopranos tombaient souvent dans l'abjection, mais l'humour, habilement saupoudré, et le choix d'un acteur au charme irrésistible -James Gandolfini- pour incarner un parrain impitoyable, contrebalançaient avec bonheur des scènes parfois insupportables. D'autres séries américaines, comme Boardwalk Empire, ont suivi la même recette. Avec Game of Thrones, on frôle, de façon récurrente, la frontière, aujourd'hui si mince et si floue, séparant le film d'action du film d'horreur. Lorsqu'on montre en gros plan l'issue d'un duel où l'un des protagonistes enfonce ses pouces dans les yeux de l'autre puis lui broie la tête jusqu'à la faire éclater, le tout filmé de près pour que le spectateur n'en perde rien; lorsqu'on présente une scène où un tout jeune homme, fruit d'un inceste et pour le moins dérangé, prend son plaisir en torturant jusqu'à la mort une prostituée qu'il crible de flèches - en somme, du "snuff movie" fictif; lorsqu'on introduit un personnage sadique qui fait subir, juste pour le plaisir de faire et de voir souffrir, les pires tortures à qui tombe entre ses mains prisonnier émasculé, jeune fille dévorée par des chiens, guerriers écorchés vifs et que l'on croie bon d'en faire profiter les spectateurs; est-on encore, là, dans un spectacle à mettre sous tous les yeux, ceux des jeunes en particulier? La violence, dans un récit, n'est pas condamnable par principe. De la Bible au Mahabharata, les textes sacrés en regorgent, où elle n'est pas gratuite et sert une finalité censée guider les hommes vers le bien et élever leur esprit vers plus de noblesse, de courage et d'honneur. HBO, la chaîne payante américaine qui produit Game of Thrones, n'a pas de si vertueux objectifs si elle investit 6 millions de dollars par épisode, c'est pour plaire, fasciner, afin d'arrimer les spectateurs sur la durée. La fin justifie les moyens, ce qui signifie que la violence est devenue un moyen, qu'elle est devenue un élément obligé, essentiel pour une majorité de producteurs soucieux de leur retour sur investissement. La clé du succès est de susciter des émotions fortes? Alors on produit des images conçues pour provoquer des sensations de plus en plus fortes. Et comme il y a pléthore de films et de séries usant de cette ficelle, on assiste à une inflexible escalade de la violence, on va vers pire et encore pire. Les producteurs et réalisateurs qui fabriquent cette démesure se défendent de toute influence nocive sur les jeunes. Pure hypocrisie de marchands car l'on sait pertinemment que l'impact psychosensoriel des scènes de violence, par un effet d'habituation, désensibilise les spectateurs des valeurs morales, des notions de bien et de mal, tout en créant un besoin de sensations de plus en plus fortes et donc de plus en plus désensibilisantes. "Mais on ne prend pas ça au sérieux!" disent les jeunes qui voudraient nous faire croire que, dans une ânerie comme Game of Thrones, ils perçoivent un second degré, savent prendre du recul et sont champions de la distanciation, eux qui, au contraire, s'identifient totalement aux personnages de la série. Ceux-ci ne sont pourtant guère reluisants, la plupart ne sont ni beaux ni intelligents, juste retors et machiavéliques. Noyés dans une multiplicité de lieux et d'histoires, ils n'apparaissent que brièvement, dans des dialogues au ras des pâquerettes. On est loin, très loin, d'autres séries américaines -Boss par exemple- où les dialogues, ciselés, pertinents, servis par des acteurs époustouflants, resserrent l'unité de lieu et d'action et rendent celle-ci passionnante. Dans Le Trône de fer, un seul acteur excelle et sort vraiment du lot Peter Dinklage, qui joue le nain Tyrion et est devenu l'oxygène de la série. Game of Thrones est néanmoins un succès planétaire. On y retrouve ce qui fait le quotidien de bien des cercles de pouvoir où tout trône fait baver d'envie jalousie, corruption, perversion, lâcheté, trahison... Tous les coups sont permis. On y confond créativité et effets spéciaux, intelligence et poncifs, mais les spectateurs s'y sentent chez eux car les trônes de fer ils connaissent, ils en entendent parler tous les soirs au JT il y a ceux du pouvoir politique, ceux du pouvoir économique, ceux du pouvoir culturel. Ils sont en fer, effectivement, car on n'en connaît pas d'inoxydables. Et ils génèrent une violence qui ne fait pas encore la pige au pire des séries télévisées mais qui est tout de même en bonne voie. C'est avilissant? Certainement, pour qui y "participe, [qui] observe et se réjouit et [qui] ne s'interpose pas". Mais de plus en plus de voix s'élèvent, d'hommes de gauche, du centre, de droite, qui connaissent suffisamment les "jeux de trônes" pour affirmer que l'accès au trône n'est pas un jeu et que les marches n'ont pas à en être glissantes. Cela n'inquiètera pas les aficionados de Game of Thrones, eux qui savent, disent-ils, dissocier fiction et réalité.

Ence moment je suis en train de lire Casual Vacancy de JK Rowling Et franchement il vaut la peine d'être lu, ce n'est pas du tout à quoi je m'attendais mais j' Rechercher Résultats par : Messages Sujets

Dans Game of Thrones il y a de la guerre, mais aussi de l'amour. Enfin parfois c'est pas de l'amour c'est du mariage forcé. En tout cas, on a envie de savoir quel couple/relation vous préférez. Et pour ça, rien de plus simple, vous votez. Jon Snow et YgridVer Gris et MissandeiGilly et SamLyanna Stark et Rhaegar TargaryenRobb et Talisa StarkNed et Catelyn StarkLoras Tyrell et Renly BaratheonOberyn Martell et Ellaria SandJon Snow et Daenerys TargaryenCersei et Jaime LannisterDaenerys Targaryen et Daario NaharisTrystane Martell et Myrcella BaratheonKhal Drogo et Daenerys TargaryenSansa Stark et Joffrey BaratheonStannis Baratheon et MelisandreSelyse et Stannis BaratheonMyranda et Ramsay BoltonCersei Lannister et Robert BaratheonLysa Arryn et Petyr BaelishCersei et Lancel LannisterTyrion Lannister et ShaeTommen Baratheon et Margaery TyrellSansa Stark et Ramsay BoltonJaime Lannister et Brienne de TorthGendry et AryaMargaery Tyrell et Joffrey BaratheonSansa Stark et Tyrion LannisterCersei Lannister et Euron GreyjoyCraster et ses fillesLa Garde de Nuit et leur main droiteRenly Baratheon et Margaery TyrellAsha Greyjoy et Ellaria Sand Va jusqu'au bout des votes pour voir ton classement et celui des topiteurs ! Une idée de Topifight ? Proposez-la nous ! ftXk.
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